"Histoire d'un temps"

Alors je me lance !

Soyez indulgent c'est ma toute premiere et surement ma derniere !

J'espere que vous passerez un bon moment à la lisant mais sachez que ca ne ressemble en rien à TWILIGHT !

HISTOIRE D'UN TEMPS

Bonjour, je vais vous raconter une histoire bien réelle, une chose que j'ai vécu au fond de mes tripes, une histoire que l'on pourrait vivre souvent et pourtant pas si souvent que ça, puisque c'est un passage de ma vie...

CHAPITRE I
Endormissement

Je m'appel Christelle, je suis une jeune fille de 20 ans et j'habite avec mes parents et mon frère un appartement à Valence, ville située dans la Drôme. Ma meilleur amie s'appelle Laurie, toutes les deux très proches on a l'habitude de tous partager, entre autres, les petites sorties du week-end !!

En ce jour, nous sommes le jeudi 22 mai 2008, il faut beau et comme convenu nous voila partie pour l'aéroport de Chabeuil où se déroule comme chaque année, un grand meeting aérien.
De nombreux pilots et amateurs sont présent pour nous faire partager leur amour de la mécanique aérienne ainsi que le grand bonheur du "septième ciel" !

Déjà en retard, faute de ne pas trouver de place ni sur les bas cotés de la route ainsi que sur le parking, nous voici captivées par la voix microphonique d'un animateur, qu'on aurait cru sortie tout droit d'un jeu télévisé.

-"Approchez vous n'ayez pas peur, qui aura le grand privilège d'aller toucher le soleil ?"

Avec difficulté nous atteignons les barrières blanches, dressées là pour l'occasion et surtout pour la protection !
L'animateur clamant toujours le soit disant privilège ! Et là en nous posant enfin, après une rude traversée, tellement la foule était compacte, nous regardâmes avec émerveillement, enfin de mon point de vue je dois dire, l'immense machine qui se dressait devant nous, enfin plus précisément à quelque mettre.
On aurait dit un avions de chasse, un peu comme dans top gun ou Pearl Harbor !!

L'animateur s'était lui disposé sur une estrade atteignant les deux postes de commandements de l'appareil, à ses cotés il y avait là, un homme, d’une vingtaine d'années, vêtu d'un uniforme beige et était équipé d'une drôle de façon, un casque à la main.

-"Mesdames et Messieurs, nous avons l'extrême honneur d'avoir parmi nous aujourd'hui, le capitaine JAMES Mickael, qui a servi dans l'US Aire Force ainsi que chez nous, dans l'armée de l'air."

La foule l'acclame et parmi elle, nous également. Je le trouvais extrêmement séduisant, pour ne pas dire craquant !

-"Hoo un Brad Pitt brun !" s'exclama Laurie

Et nous voici partie dans un fou rire, comme il nous arrive fréquemment ! Il faut dire qu’avec Laurie on se connait depuis maintenant 4 ans et on ne s'en lasse pas.
Elle a toujours était là pour moi, dans les bons comme dans les mauvais moments, j'ai passé avec elle sans doute les meilleurs moments de ma vie, ce n'était pas sans dire ce qui va m'arriver ensuite...

Partie dans notre petit délire, je ne mettais pas aperçue que le sujet de notre hilarité c'était quelque peu rapproché, sa démarche si cadencée collé tellement à son image de militaire. Il cherchait visiblement quelque chose parmi la foule. Et là notre regard se croisa, pourtant disposée derrière quelque rang de la barrière. La foule s'écarta et le laissa passer. Comme pétrifié par son regard je ne bougea pas, il arriva devant moi et me déposa le casque dans les mains...

- "Est-ce que le capitaine a trouvé sa victime ? Haa je crois bien que oui !! Venez mademoiselle !"

Un bref regard de désespoir à Laurie et me voila face à face avec le beau capitaine de l'US aire force.

- "Vous avez de très jolie yeux, acceptez vous de m'accompagner et de faire votre baptême de l'aire?"

L'aire me manquait, mais j'allais être servi !! C'est bras dessus bras dessous que nous nous dirigions vers l'animateur à la voix de télévision et le monstre d'acier.
Arrivé sur l'estrade, toujours accrochais à mon beau capitaine, l'animateur me tendit le micro.

-"Comment vous appelez vous ?"
-"Christelle" répondis-je, la voix tremblante !
-"Et bien vous pouvais l'applaudir bien fort !"

Et encore une fois, la foule acclama les paroles de ce type à lunette, presque dégarnie, possédant une moustache si grande, qu'on la confondait avec le micro !

- "Enchanté" me fit une voix.

Comme si le fait de prononcer mon prénom m'avais fait oublier le pourquoi du comment ! Non j’étais encore sur l'estrade, mais cette fois si, le capitaine n'était plus à mon bras, mais devant moi avec le même harnachement que lui portait déjà.

-" Je vais t'expliquer, tu n’as jamais fais d'avion auparavant ?"
-"Non, jamais"
-"Et bien tu va mettre ta jambe droite de ce coté et ensuite l'autre là pour l'enfiler comme un pantalon, ensuite tu enfile les bras, comme un gilet, et pour finir je réglerai les lanières."
Aussitôt dit aussitôt fait, avec une aisance qui me coupait le souffle j'exécutée ses paroles.
Avec un peu de chance Laurie avait réussi à ne pas me faire porter la jupe que j'avais s'sélectionné et m'avait dit :

-" Il va y avoir du vent, à moins que tu ne veuille montrer ton cul à tout le monde fait ce que bon te semble !!"

J'avais donc mis, mon incontournable pantalon noir à petites rayures blanches que tout le monde connais, ainsi que mon dos nu à poids rose, gris et noir, qui lui ne risquait pas de s'envoler !

-"C'est bon tu es bien maintenue ?"

D'un hochement de tête je répondis à ce capitaine aux yeux d'un vert limpide.

-"Alors voila, la poignet sur ta droite c'est pour un éventuel saut en parachute ! Mais ne t’inquiète pas tu n'en auras pas besoin ! Tu as à ton poignet gauche un compteur qui lui t’indique ton oxygène, mais là encore ce n'est qu'en cas d'extrême urgence !"

Toutes ces indications ne me rassuraient pas ! Et en plus le presque chauve au micro braillait que, d'ici 1h il y aurait une parade de vieux coucou. A croire que les oiseaux auraient été un peu plus mon truc dans le cas présent !

Ha ! Me voila entrain de bouger ! Oui je monte quelques petites marches et avec le soutient physique du capitaine je m’installai dans le cockpit avant.

-" Tu a vraiment de très jolie yeux" me fit t'il, installé en face de moi, à plat ventre sur le nez de l'appareil.

Il était entrain de m'attacher le harnais en X, sorte de ceinture de sécurité, mais pour avions! Ils sont où les airbags ??

-" Bon voila" me fit t'il en me posant le casque sur la tête, et en passant ses doigts sous ma jugulaire pour fermer l'attache.

Il avait les mains chaudes, mais pas collantes et très douces aussi. Et puis ce regard, avec quelques mèches brunes qui lui tombaient devant les yeux c'était presque irréel !

-"là c'est ton micro, une fois en vol on communiquera par radio, je serais juste derrière toi"
-"D'accord, est ce que ca marche là ?"
-"Tu veux qu'on fasse un essai ?"

Il enfila sont casque, monta dans le deuxième cockpit derrière moi et s'attacha.
Là, l'immense "couvercle" en verre s'abaissa sur nous et se referma.

-"Ha les voila prêts, je vais demander à l'équipe technique de venir enlever l'estrade."

Six hommes en combinaison rouge s'avancèrent et déplacèrent l'estrade vers la foule. L'animateur rejoignit une chaise prêt des barrières, mais je n’entendais plus ce qu'il disait, seul ses lèvres s'agitaient. Je cherchais en vain le regard de Laurie dans le public, lorsqu’une voix me fit sursauter:

-"C'est bon tu m’entends ?"
-"Oui super" accompagna mon petit ok du pousse !
-"Bon alors tu est prête?"
-"Et bien pas vraiment, mais quand faut y aller faut y aller !"

C’est dingue le nombre de couillonneries qui sortent de ma bouche quand je suis stressée !
Un bruit sourd venant de derrière retentit et d'intenses vibrations parcourait tout mon corps !

-"Heu c'est normal ça?"
-"Oui ne t’inquiète pas, j'ai mis les moteurs en route"
-"D'accord !"
-"Ha petite précision, il y a un sac à vomi, sur ta droite, n'hésite pas à t'en servir !"
-"Heu oui, je vais essayer de pas salir l'avion, mais j'aimerais profiter du vol donc je vais me retenir!"

Un éclat de rire suivit !

-"Et bien moi je vais essayer de ne pas décoller trop vite !"
-"Merci !" dis-je accompagné d’un maigre sourire.

L'appareil commença à bouger, puis à accélérer et là je fus plaquée contre mon siège avec une force inimaginable, et un "yhaouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu" retentit !
De plus il était collectif !
Après quelque seconde l’appareil se stabilisa.

-"Ca va ? Tu ne ferme pas les yeux j'espère !"
-" Non non, c'est magnifique"

J'avais les deux mains, plaquées contre la vitre qui me servais de toit, il y avait un soleil radieux, quelques nuages blancs, j'étais comme aspirée par cette tranquillité, j'en restais bouche bais. On ne peut même pas imaginer comment on se sent une fois là haut...

-"Vraiment merci, je n'oublierais jamais cette journée" bafouillais-je dans mon micro.
-"Moi non plus je crois !"

Cette phrase m'interpela, comment un pilot de chasse, peut ne pas oublier une journée aussi banale, en tout cas pour lui !

-"Ha et pourquoi ?"
-"Car vous êtes la plus jolie fille que j'ai amené jusque ici !"
-"Merci !"
-"Non c'est moi !"

Je me retournais et croisa sont regard pour lui esquisser un sourire !

-"Vous pouvez me demander ce que vous voulez, je l'exaucerais avec le plus grand plaisir."

Un sourire aux lèvres, sachant déjà ce que je pourrais lui demander, je répondis:

-"Je vais y réfléchir !"
-"Pas de problème, je me chargerai de vous y faire penser !"-
"Vous pouvez me tutoyer capitaine."
-"Pareil et tu peux m'appeler Mickael"

Son petit accent américain, était si envoutant, que je cru un instant être ailleurs, dans un de mes songes comme il m'arrive d'en faire ! Mais là c'était bien réel, je sentais avec exactitude les vrombissements des moteurs, j'entendais à la perfection le vent siffler autour de nous et enfin je percevais avec émois, les battements de mon cœur dans ma poitrine.

-"J'ai le cœur qui va exploser !"
-"Et pourtant ce n'est pas fini !"
-"Pardon ?"
-"Ca te dirais qu'on bouge un peu ? Pour ne rien te cacher je suis censé faire quelques figures !"

Je me senti blêmir, voir fondre !

-"Et bien moi pour ne rien te cacher, j'ai peur !"
-"Est ce que tu me fais confiance ?"

Il avait parlé trop vite, comment faire confiance à un inconnu, lorsqu’en plus on est dans un avion, à plus de 1000 mètres du sol. Il se reprit :

-"Fait moi confiance, je tes mis dans cet avion vivante je t'en ferais ressortir vivante !"

Comment ne pas se laissais porter par ses paroles?

-"D'accord mais doucement !"
-"Alors tu as confiance en moi ?" me dit t'il presque en criant, mais n'ayant aucune violence dans la tonalité de sa phrase.
-"J'ai confiance en toi" lui lançais-je sur la même tonalité.

Et là ce fut, rapide, même très rapide, ma phrase avait du sonner dans sa tête, comme un feu vert pour un coureur de F1...

Bientot le chapitre II ...

CHAPITRE II
Sommeil léger

-"Voilà notre jeune capitaine qui amorce un looping, puis une vrille sur le cote droit, ha il reprend de l'altitude et s'apprête à faire demi tour pour repasser une dernier fois devant nous avant l'atterrissage !"

J'avais l'impression que mon cœur était resté au début du truc qui tourne que nous venions de faire, qu'il avait déjà entamé et autre truc de coté, mais qui tourne plus vite ! "Ca va? Tu es prête pour une autre?" avait t'il eu le temps de me demander.

Une fois stabilisé, enfin nous étions entrain de tourner, je préfère préciser !! Il m'interpela :

-"Ca va ? J’y suis peu être allé un peu fort ?"
-"Non pas du tout c'était génial, même si j'ai l'impression de ne plus avoir aucun organes à la bonne place !"

Il éclatât de rire.

-"Tu veux faire quelque chose par toi même ?"
-"Comment ca?
-"Tu vois le manche devant toi ?"
-"Heuu oui."
-"Prend le avec les deux mains."

Je m’exécutai.

-"Tu vois sur le tableau de bord, tu as un cadran avec une ligne d'horizon, et ton avion est représenté en rouge dessus. Et là, il est exactement parallèle au coté noir, qui est la partie basse du cadran."
-"Oui je vois, il tangue un peu de gauche à droite."
-"Ok, oui c'est normal, et bien quand je te le dirais, tu pousseras le manche vers ta gauche, tout doucement, jusqu’a se que l'aileron de ton petit avion rouge soit du coté noir. Tu as compris?"
-"Oui ok, donc c'est moi qui vais conduire?"
-"Oui c'est toi qui va PILOTER ! Prête ? Tu tien bien le manche et tu regarde le petit avion"

C'est parole étaient douce, soucieuse que je fasse bien, sans réel ordre, plus de simples conseils. Malgré la peur que j’avais de devoir condui…. oups Piloter ce monstre d'acier, je savais qu'il était là, là pour veiller sur mes gestes, là pour me soutenir.

-"C'est bon je le tien et l'avion est sur la ligne"
-"Et bien maintenant c'est toi qui pilot !"

Un vague d'émotion me submergea, et je fis tanguer un peu plus que la normale l'avion !

-"Ca va ?" dit-il avec un petit sourire aux lèvres parfaitement audibles !
-"Oui oui, c'est incroyable !"
-"Alors tu y vas quand tu veux !"

Je sentais mes mains moites sur ce manche, et pourtant dépassant toutes mes peurs, je poussai le manche doucement vers la gauche. L'avion se mi à pivoter sur la gauche, j'avais les yeux rivés sur mon petit cadran attendant que l'aileron soit du coté noir.

-"Bravos, maintenant tu peux lâcher le manche je m'occupe de tout, et regarde !" me fit une voix !

Comme si j’avais reçut une décharge électrique je lâchai le manche et m'aperçut que mes cheveux étaient dressés au dessus de ma tête. Et la avec stupeur je vie le sol au dessus de moi, avec une foule de plus en plus nombreuse qui regardait dans notre direction. Nous étions effectivement à l’ envers ! Je nous avais mis la tête à l’ envers.
Tranquillement l'appareil repris sa position "normal", après tout ca on se demande ce qui est vraiment normal !

-"Comment te sens-tu ?"
-"Ca va, je n'en reviens pas c'est extraordinaire, encore merci, vraiment merci"
-"De rien, prête à amorcer la descente? Vérifie si ton harnais est bien serré."
-"C'est bon tout est ok !"

La descente s'amorça tranquillement, à travers de petits nuages qui avait l'aire de rester intact malgré notre passage. La piste ainsi que la foule s'approchaient rapidement et j'aperçue enfin la piste d'atterrissage avec les petits fanions bleu sur le bas coté.

- "Cramponne-toi !"

J'agrippai avec force le manche de direction devant moi, une secousse me projeta en avant puis violemment en arrière, j'étais presque sonnée, quand sa voix me rappela à la conscience:

-"Comment vas-tu ?"
-"Un peu mal au ventre je crois !!"

L'avion se stabilisa et les techniciens rapprochèrent l'estrade afin de nous extraire de l'appareil. La capsule en vers s'ouvrit enfin et l'aire s'engouffra dans la cabine, je pu hotter mon casque et malheureusement entendre la voix du moustachu !

-"Vous pouvez les applaudir, mesdames et messieurs"

C'est avec les acclamations du public, que Mickael m'aida à sortir de la carlingue. A peine avais je pausé mes pieds sur le sol, ou plus exactement sur l'estrade qu'un micro jaillit devant moi :

-"Comment vous sentez vous ? Et voulez vous nous dire quelque chose ?"
-"Et bien ca va, mais je crois que je ne sens plus mes jambes !!"

Le foule redoubla de plus belle, avec quelques rires réconfortants, j’étais bien au sol, parmi les vivants !!
Mon regard chercha celui du beau capitaine, il était entrain de décrocher mon harnais. Il releva la tête avec un immense sourire, prêt à prononcer quelques mots :

-"Alors ? Tu n'a rien à me demander ?"

J'avais presque oublié avec tous ces événements qu'il m'avait octroyé la permission de lui demander quelque chose. Il était maintenant là, debout face à moi, certes un peu plus grand mais tellement beau ! Mes esprits étaient encore embrouillés, comme passés au mixer, mais je savais ce que je voulais lui demander.

-"C'est quelque chose d'un peu bête, qui fait certainement cliché..»
-"Ce n’est pas grave va y toujours"
-"Et bien tu fais partie de l'US aire force, donc je me demander si par hasard tu avais cette chaine avec deux petit plaques ou est gravé ton matricule ?"

Nous étions entrain de rejoindre la foule, pour laisser la place au défilé de vieux coucou, quand je fini ma phrase.

-"Nous retrouverons le capitaine JAMES dans environs deux heures, pour une autre démonstration, rendez-vous à coté de la piste d'atterrissage n°3, et maintenant laissons place à ses bijoux"

A peine eu t'il le temps de finir la sienne, qu'un vieil appareil vert kaki, fondit sur nous, nous obligeant à nous accroupir.
Il c'était pencher sur moi, comme pour former un bouclier contre l'attaque venue du ciel.

-"Ca va ? Rien de cassé ?"
-"Non, ca va"

J’étais toute tremblante et je fusillai du regard, le binoclard au micro lorsque 'il plaisanta sur cette attaque furtive.

-"Ha ils veulent nous montrer que nos vielles machines sont aussi performante que le bolide du capitaine JAMES !!"

Nous nous écartions progressivement du milieu de la piste, quand il se tourna vers moi, déboutonna les deux premiers boutons de sa chemise et me laissa miré cette petite chaine où pendait deux médaillons rectangulaire serti d'un plastique noir, pour sans doute éviter de se blesser avec la ferraille. Elle tombait parfaitement sur son torse, je pouvais apercevoir, l'entretient régulier de sa musculature et une peau mate.

-"Je peux ?" lui lançais-je.
-"Oui bien sure !"

J'avançais mes mains tremblantes vers cette petite breloque.

-"Désolé j'ai les mains qui tremblent encore !"

Il les saisies, puis les approcha lui même, Il tenait mes mains qui tenaient elle, les petites plaques, qui luisaient à cause des rayons du soleil. Je pu lire sur l'une d'elle :

SILVER
35-207-964

-"Silver ?"
-"Oui c'est mon matricule, mais on m'appel plutôt LIVELY SILVER !!"
-"Haa vif argent !

Bien que mes capacités de compréhension et de prononciation en anglais ne s'arrêtent, à "where is Bryan ? !!" je pu facilement faire la traduction.
Quel scène cliché ! On était la au milieu d'une piste d'atterrissage, devant une foule de plus de 100 personnes, face à face, mains contre mains et yeux dans les yeux.

L'appel de Laurie nous fit tressaillir.

Bientot le chapitre III ...

CHAPITRE III
Sommeil paradoxal

-"Hay cricri !"
-"Tu est venue avec quelqu'un ?" me demanda t-il.
-"Oui ma meilleure amie! Laurie."
-"Puis-je vous inviter à boire quelque chose ?"
-"Et bien, pourquoi pas, mais tu as peut être d'autres choses à faire ?"

Avec un large sourire qui laissait apercevoir une dentition parfaite, il me répondit :

-"Aucun soucis, ma prochaine représentation n'est que dans 2h !!"

Pendant ce temps Laurie nous avait rejoints.

-"Bonjour" fit-elle.
-"Bonjour, j'ai justement proposé à Christelle de vous inviter à boire quelque chose au bars de l'aéroport."

Un simple échange de regard entre Laurie est moi suffi pour qu'elle aperçut dans mes yeux de petites étincelles et l'immense sourire qui bordé ma bouche !

-"Avec plaisir !"

Et nous voila partie tout trois, moi au bras du beau capitaine, en direction du bar.
Il y avait de grandes bais vitrée qui laisser le champ de vision libre sur les pistes d'atterrissages, de grandes structures métalliques faisaient penser a l'intérieur d'un avion.
Le bar était lui aussi couleur fer, les tabourets qui le bordait semblait être fait de pièces rapportés, mais s'accordaient parfaitement avec le comptoir.

Tout ce passer, maintenant avec une vitesse folle, de brèves images, de coca et de diabolo fraise, de sourires et d'émerveillements.
J’étais sens aucuns doute entrain de raconter a Laurie les sensations que j'avais ressentie la haut, et le capitaine me regardait narrer ses exploits.

-"Je ne vous ai pas demandé, vous faite quoi dans la vie ?"
-"Nous sommes en première année d'infirmière." lui répondit Laurie.

Elle a, contrairement a moi, une facilité à parler aux gens que l'on vient juste de rencontrer, moi je suis trop réservée, peut être sur mes gardes. Une chose est sure c'est que je n'ai absolument pas confiance en moi, alors que elle, elle s'assume et profite de chaque moments pour essayer de me faire me décoincer !! Et je ne l'en remercierais jamais assez !

-"Haa infirmière ! Ce n'est pas trop dur ?"

A peine avait t'il eu le temps de prononcer cette phrase, que dans ma poche vibrait mon portable. "PAPA" y avait il marqué sur mon écran.

-"Oui allo ? ..."

Ma maman m'informait qu'il était plus de 17h et que nous étions attendues à 17h30 chez la famille ETRE.

-"Je suis désolé, mais je dois y aller."

Un bref regard à Laurie, qui lu ma déception.
Je descendis du tabouret, me mi face à Mickael et le regarda.

-"Merci pour tout, c'était vraiment extraordinaire, jamais je ne pourrais oublier cette journée."
-"Mais de rien c'était avec un grand plaisir."

Répondit t'il, toujours avec le même sourire charmeur et ses petite mèche brunes qui lui donner un aire de petit voyou !

Bientot le chapitre IV ...

CHAPITRE IV
Sommeil intermediaire

Nous nous dirigions, Laurie et moi vers les escaliers qui longeaient la façade du bar, situé au dessus de bureaux, semble t'il destiner au tracer des plans de vol, lorsque une voix nous fit stopper net.

-"Christelle attend."

En quelques foulés il nous avait rejoint, un petit papier blanc à la main.

-"Tien, je me permets de te donner mon numéro de téléphone, je suis là encore pour une semaine, ca me ferai plaisir de te revoir." me fit t'il.

J'en restais con, moi une simple fille sans aucun attribut, qui avait failli vomir dans son avion, je venais de me faire inviter par un pilot de l'armée de l'air qui se trouve également être un pilot de l'US air force ! Un rêve je vous dis ! Et pourtant non, j’étais bien là, Laurie à mes cotés, face à lui, le petit papier toujours entre sont pousse et son index.

-"D'accord, merci"

C’était les seules mots que je peux trouver et surtout prononcer ! Mais mon sourire devait en dire long !
Le petit carton était d'une couleur crème, un aigle serti d'un anneau rouge était en en-tête et on pouvait lire marquer à l'imprimante :

Capitaine JAMES Mickael
0325 0620 584 23

Et au stylo bille il avait rajouté : 06 54 28 30 67

-"Celui d'en haut est celui de mon portable américain et celui du bas celui que j'ai en France, j'espère à bientôt"

Il déposa un léger bisou sur ma joue, qui devait sans doute lui bruler les lèvres, tellement je rougissais.
Un dernier échange de sourires et nous voila partie, direction Valence.

Comme je vous l’ai dis, tout s'accélère. Tout s'accélère tellement que la conversation qui nous a tenue en haleine Laurie et moi, dans sa voiture, la soirée chez Laurence et Alain ainsi que les deux jours suivants sont maintenant perdu dans les méandres de ma pensé.

Nous voici donc le 25 mai 2008, fête des mères. Je suis dans mon lit, une faible lueur se dégage de mes volets, mais suffisamment, grâce a un laveur de carreau peut orthodoxe, pour me réveiller ! J’ai horreur de ca !

Je décide donc de me lever, 10h30, Bhaa j'ai bien dormis ! Et maman doit attendre avec impatience ses cadeaux ! Papa a était le premier, avec son traditionnel, magnifique bouquet de fleurs ! Le nain et moi, enfin mon petit frère et moi même, nous nous sommes mis a deux pour lui acheter le DVD d'Omar et Fred, le service après vente des émissions,
Elle en est dingue !

Donc voila une petite matinée mouvementée ! Fière de l'effet du DVD je me dirige dans ma chambre pour éviter de rester en pij toute la journée! En rentrant dans ma chambre, j’aperçois pour la énième fois, ce petit bout de carton pauser sur mon bureau, a chaque regard déposés dessus, j'ai cette image qui revient, cette image du beau jeune homme qui devait sans doute ce demander si je l'avais oublié, mais comment aurais-je pu faire une chose pareil !

Maman m'avait conseillé d'attendre un peu, ce que Laurie avait elle aussi suggéré ! Fort de leur expérience j'avais suivi leurs conseils !
Mais là, je devais agir, il ne resté plus que 4 jours avant qu'il ne reparte pour les Etats-Unis.
Je m'empare alors de la petite carte et compose le numéro du bas, le portable utile en France !

-" 06 54 ... " bippppppppppp bipppppppppppppp

Déjà deux sonneries, va t'il répondre ?

-" Allo ?"
-" Heu oui bonjour, Mickael, c'est Christelle, la fille de l'avion !"
-"Oui ne t’inquiète pas je ne tes pas oublié ! Comment vas-tu ?"
-"Et bien ca va ! J’ai repris ma petite vie de terrienne loin des nuages !!"

Apres quelques banalités abordées, connaissant ma grande aisance pour ce genre de coup de fil, il me fit une proposition que je ne pouvais pas refuser ! Enfin si mais surtout que je n'avais pas envie de refuser !!

-"Tu me ferais un grand plaisir en acceptant de venir diner avec moi se soir !"
-"Et bien, il faut que je vois les projets de mes parents et je t'appel ensuite !"
-"Aucun soucis, à tout de suite alors !"
-"A de suite !"

Bien sure, mes parents n'étaient pas contre, mais ils gardaient quand même une certaine réserve à ce que j'aille diner avec un inconnu, Vous savez comment sont les parents le petit poussin qui a grandi est encore pour eu un petit poussin ! Et je sais qu'il l'aime tendrement ce petit oiseau et c'est pour ca que des fois ca na pas toujours était drôle à la maison !

J'ai donc rappelé Mickael pour confirmer. Il me donna donc l'adresse du restaurant et l'heure à laquelle il m'attendrait.
Il était donc à l'hôtel de France, 16 Boulevard Général de Gaulle. Cet hôtel possédait un restaurant fabuleux, m'avais t'il assuré. Nous avions donc rendez-vous à 20h30 à l'entrée du restaurant.

Excitée comme une puce, je fonce sur MSN pour tout raconter à ma fidele acolyte, ma lolo ! Là encore la journée passe effrayamment vite. Je me souviens juste d'avoir cherché dans mon armoire la tenue idéale ! J’ai fini par dénicher une petite jupe noire qui m'arrive à mi genoux et un jolie haut, colle en V, noir également, je compté rehausser le tout grâce à mon maquillage !

Il est 20h00, je me gare sur le parking du Pathé, seul parking non payant de Valence ! Lieu de garage de tous les jeunes !

C'est fou comme la mémoire est sélective, car je ne me rappel ni du parcours entre le parking et le restaurant ni même du repas que j'ai mangé, seul les instant magiques comme ses sourires ou encore les éclats de rire que nous avons partagé, à cause de quelque broutilles ! Je sais également qu'il m'a raccompagné jusqu’a la voiture et pausé un deuxième bisou sur la joue, qui encore une fois venait de virer à l'écarlate, ce qui le fit beaucoup rire !

C’est enchantée que je rejoignis mon petit lit en racontant au passage ma magnifique soirée à ma maman. Car ma maman est moi nous sommes très proches, j'ai la chance de pouvoir tout lui raconter, enfin presque tout ! Elle est toujours là pour moi, elle a toujours les paroles qu'il faut au bon moment. C'est avec plaisir que je lui demande conseil à chaque doute.

Le lendemain matin, vers les 11h00, mon téléphone vibra, mon interlocuteur n'était autre que Laurie, ayant soif de news ! Bien sure j'ai du tout lui raconter !
Le second appel que j'ai reçut par la suite était Mickael, il avait passé une excellente soirée et désirait me revoir, mais il me lança un défi !

-"Je t'emmène dans un endroit très chic, à toi de me surprendre !"

Alors là que faire? Déjà tenue de soirée oblige ! Mais hélas je n'ai rien de plus chic, qu'un haut à paillette année 80 ! Ma solution de secours été Laurence, je les donc appelé et par miracle elle pu me prêter une robe. Mais quelle robe, elle était noire, serré au corps, laissant une fente sur la jambe droite, elle était magnifiquement échancrée et possédait un dos nu et faire tomber les mouches ! Je me suis ensuite chaussée avec les petites chaussures noires à bout rond que j'avais acheté chez Mim avec ma très chère Laurie !

C'était parfait.

Même heure, même endroit, et même trou de mémoire ! Le trajet, le diner, mais que m'arrive t'il ? Tant de chose vécus, oubliés en un tour de main, ce n'est pas juste.

Il me semble que le cadre était serein, avec beaucoup de rouge ou de fuchsia, une légère musique flottée dans la salle. J'avais une allure folle dans cette tenue et je crois que ca lui a plus !

Apres le repas nous avons pris un taxi, jusqu'à son hôtel, un beau taxi jaune comme il y en a en Angleterre ! Vraiment très bizarre !
Et là, tout a basculé, enfin si je puis dire !
Nous sommes rentré dans cette belle chambre, elle était gigantesque et disposé d'un grand lit, qui au premier coup d'œil ma paru extrêmement moelleux ! Nous nous sommes regardés longuement sans bouger, puis il c'est approché et a délicatement pausé ses lèvres sur les miennes. Il m'a ensuite porté délicatement sur le lit.

Nous avons fait l'amour. Un instant magique gravé pour toujours dans ma mémoire, tant de choses passaient entre nous, nous étions attirés comme deux aimant, nous rigolions des même choses au même moment, nos deux esprit ne fessaient plus qu'un et maintenant c'était au tour de nos corps.

Quel bel homme, fort et protecteur. Je le regardé fixement, ses mèches venant devant ses yeux et lui donnant cet aire ravageur de jeune voyou me faisait fondre. Ses petites plaques s'entrechoquaient et se jolie tintement me faisait plonger encore plus profond dans ses yeux, comme des joyaux je ne pouvais m'empêcher de les prendre dans la main et de les serrer fort contre ma poitrine, comme pour graver son matricule dans ma peau et l'obligeant ainsi à rapprocher son visage du mien.

Ces instants de bonheur durèrent 3 long jours, ou nous ne nous quittions plus, et passion de merveilleuses nuit coller l'un contre l'autre pour s'imprégner le plus possible.

Bientot le chapitre V ...

CHAPITRE V
EVEIL

Les rideaux n'étant pas tirés au maximum, un léger sillon de soleil traversé la chambre, cette chambre, lieu qui contenait tendresse, émotion et amour. J'ouvris les yeux, le réveil affichait, 10h30 et nous étions le vendredi 29 mai.
Je cherchai de la main un corps assoupi prêt de moi, mais ne trouva rien. Je me redressai et entendis ce petit cliquetis si cher à mon cœur, qu'émettaient les deux plaques de métal de sa chaine, mais m'aperçut qu’elle pendait à mon coup.

Une légère panic s'empara de moi, un désarroi tel que je ne comprenais toujours pas la situation, mes yeux se tournèrent vers la table de nuit ou était disposé, sous le rayon de soleil une lettre. La main tremblante je saisie l'enveloppe ou était écrit harmonieusement, sur le recto : CHRISTELLE

Devais-je l'ouvrir ? J’avais peur de ce que j'allais lire, j'avais peur que se que je pensais ne ce révèle la vérité.
Ma main droite sortie délicatement la feuille de papier et mes yeux au bord des larmes commencèrent à lire :

"Chère Christelle,

C'est avec beaucoup de regret que je dois rentrer, tu es une personne merveilleuse,
J’ai passé en ta présence les meilleurs moments de ma vie. Jamais plus tu ne me quitteras,
Tu es désormais graver dans mon cœur, comme mon matricule sur cette chaine. Elle est d'ailleurs désormais à toi, je me débrouillerai pour déclarer un vol !

Ne t’inquiète pas tous est réglé, à la réception tu demanderas un taxi, j’ai laissé une enveloppe pour te permettre de rentrer chez toi.

Ne soit pas triste, ton jolie visage risque de s'abimer avec toutes ces larmes, et tu es tellement plus jolie quand tu souries.
Prend ton temps pour m'appeler, je n'aime pas les au revoir, si tu pouvais attendre 3 jours, cela sera peut être un peu moins difficile.

Parmi tous les voyages que j'ai fait vers les hauteurs, je n'en n’avais jamais rencontré, et bien voila, enfin j'ai eu l'extrême honneur de partager un bout de sa vie ...

Mon ange, je t'aime.

Mickael "

Mes larmes ne voulaient plus s'arrêter, j’avais le cœur prêt à exploser et j’aurais tant aimé, pour enfin ne plus souffrir comme je souffrais à ce moment là. Il m'avait laissé un plateau pour déjeuner, mais mon estomac n'était pas prêt à manger quoi que se soit. Je me mis sous la douche et y resta une bonne heure, espérant me laver de toute cette peine, mais les larmes coulaient toujours, il fallait que je sorte de cet endroit, qui autrefois me semblait si rassurant et qui maintenant m’étouffé et m'empêché de reprendre mon souffle.

La porte claqua, les escaliers défilaient sous mes pieds mais étaient encore flou à cause des larmes.
A la réception, il n'y eu aucune question, on me tendit juste une enveloppe et une rose rouge attacher à des plumes blanches. Ce qui fit remonter encore une fois le flot de larmes incessantes.

Le taxi était silencieux, seul un homme d'une cinquantaine d'année regardé dans son rétroviseur la peine qui coulait sur mes joues.

-"Vous aller bien mademoiselle ?"
-"Oui, merci"
-"C'est a cause d'un garçon ?" fit t'il plein de compréhension.

Gênée et surtout profondément blessée, je pris dans ma main les médailles que j'avais toujours au coup.

-"Oui, monsieur"

De Jeune femme, je retombais en enfance, je subissais.

-"Ne vous inquiétez pas, un homme qui offre une rose rouge ne vous laissera pas longtemps toute seule."

Sa voix était pleine de tendresse, il chercher, en vain à me réconforter, mais rien n'y faisait et j'ai l'impression que rien n'y fera jamais rien.

-"Merci monsieur" lui dis-je, une fois arriver devant l'immeuble. Je lui tendis l'enveloppe en détournant le regard.

La porte se referma.

Je restai là, sur mon lit à pleurer pendant des heures, à repenser involontairement a tous ce que l'on avait partagés. Et cette douleur qui me rongeait, quand cesserait-elle?
Se fut les 3 jours les plus longs de mon existence, prête à entendre sa voix, qui me ferait sans doute perdre encore des litres d'eau.

Cette fois-ci je composai les numéros du haut, celui qui sert en Amérique.

Bippppppppppp bipppppppppppppppppp bipppppppppppppppppppppp
Mon cœur battait la chamade.

-"Hello, you are indeed on the answering machine of the capitain James, I am not there for the moment, but please leave a message. Thank you."

Bipppppppppppppp

-"Oui, heu bonjour Mickael, c'est Christelle, comme tu me l'avais demandé j'ai attendu 3 jours, et voila, j'aurais tellement aimé entendre ta voix. Rappel moi des que tu peux, merci, jee je je t'aime."

A peine avais je raccroché que les larmes se remirent à couler. J'espère de tout mon cœur qu'il me rappel, mais voila, il ne l'a jamais fait, et je n'appris que bien plus tard que l'avion numéros 6232, ayant comme copilote Henry LAURENS et comme capitaine Mickael JAMES, c'était crachait en plein océan à cause d’un problème de moteur, le vendredi 29 mai 2008 à 10h30 ...

Il est partit retrouver les anges, me suis je dis.

Nous sommes aujourd'hui le 13 mai 2008, vous allez vous demander comment est-ce possible ? Et bien je n'ai que quelques choses à vous répondre, la première c'est que ce matin, je me suis réveillée les yeux baignées de larmes et cette dernière phrase raisonnée toujours dans ma tête. La deuxième c'est que j'ai réellement vécu tout cela, puisque j'ai ressenti toutes ces émotions, toutes ces vibrations, puisque j'ai parlé avec les gens que j'aime, mes parents, Laurie, puisque j'ai versé des larmes et senti mon cœur battre.
Oui j'ai vécu tout cela et c'est une partie de ma vie, c'est une histoire d'un temps, ce n'était enfaite qu'un rêve ...

FIN

Ps : Cette nouvelle est effectivement tiré d’un de mes rêves, je l'ai un peu arrangé, mais beaucoup de passages sont tirés de ma mémoire. Cela peut paraitre invraisemblable, et pourtant ! J’en suis toute étonnée moi-même !

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