Nom : Cullen
Prénom : Jasper
Âge : 165 ans (eh oui!)
Clan souhaité : Vampire
Description Mentale :
Jasper est très calme, posé. Il prend les états d'esprits des personnes qui l'entoure pour leur remplacé par la sérénité. Jasper Cullen vit avec Carlisle et les autres depuis peu de temps il a donc du mal a être "végétarien" et souffre beaucoup de se retrouver en permanence au milieu d'humains.
Description Physique :
Jasper est magnifique et comme tous ces frères il a la peau blanche et des yeux or! Il est blond, les cheveux frisés et mi-longs!
Il a un beau corps mais ses bras sont détruits par les morsures qui lui ont été infligé pendant la guerre qu'il menait pour Maria ( Vampire). Musclé mais plutôt fifrelé par rapport à ses frères! =D
Histoire : Je suis né en 1844. Quans j'ai eu 15 ans je me suis présenté à l'armée, Je voulalis sauver les gens qui se faisait attaquer par des choses étrange et alors que je repartais d'une petite ville où j'avais rammené des survivants, les trois plus belles créatures que je n'avais jamais vu sont venu à ma rencontre et on parlaient de choses que je ne comprenais pas. Deux sont partis et une d'elle est resté et m'a... mordu. Elle s'appellait Maria, je suis devenu son allier, elle, ma maîtresse, elle m'a élevé pour que je cré une armée de jeune Vampire pour qu'elle gagne les territoires du Sud et les différentes guerre. Durant ces annés, j'ai fait la connaissances de deux Vampire qui avaient décidé de vivre autrement alors que je ne pensais pas cela possible. Un jour ils sont tous les deux revenu et Maria m'a ordonné de les tué... je ne l'ai pas fait et je l'ai abandonné. C'est là que Carlisle m'a trouvé et m'a... sauvé. Depuis je vit avec mon âme-soeur, ma moitié: Alice Cullen et toute ma famille que je ne quitterai pour rien au monde!
Test RP :
Jasper le sentait, oui il le sentait se rapprocher. Il était là tout près et pourtant si loin. Etre là, impuissant, dans cette cage qui aurait du se torde quand il tentait d’en écarter les barreaux. Impuissant face à cette chose qui menaçait sa moitié, son âme sœur, sa vie, son éternité. Jasper essayer encore une fois - et toujours sans succès - d’écarter ces fichus barreaux. Mais bon dieu quelle était leur matière pour qu’un vampire n’arrive pas à les faire se déplacer ne serait-ce que de quelques millimètres. Oui, quelques millimètres suffirai, après aves sa souplesse il arriverait à en sortir il en était sur… ! Non les barres de matières inconnues ne bougèrent pas.
Tout-à-coup, les yeux de Jasper virèrent au rouge. Il ne manquait plus que cela, il commençait à avoir soif : « Pas maintenant » pensa t-il si fort qu’il se demanda si il n’avait pas exprimé sa pensée à voix haute. Sa y est il craquait, c’est dans ces moments là qu’il regrettait vraiment que son don ne lui fut pas applicable à lui-même.
Mais où étaient-ils ? Quelle était cette cage posait au milieu de nulle part ? Cette forêt denses autours de lui était-elle la même que celle dans laquelle il s’était introduit avec Alice quelques heures auparavant ? Il n’avait pas le souvenir d’une forêt aussi lugubre. Le feulement du vent, le frissonnement des feuilles et le silence lourd, trop lourd ne lui rappelait rien… non, il n’avait pas le souvenir d’une telle forêt. Celle dans laquelle il était parti avec Alice était accueillante, plein de bruits d’animaux sauvages ne se doutant pas un instant qu’ils assouviraient certainement la soif d’un vampire.
Mais que c’était il passé, pourquoi il se retrouvait maintenant, ici dans cette cage, et quelle était cette créature puante qui l’avait séparé de son Alice, sa femme ? Tant de « pourquoi » auquel il aurait voulu des « parce que ».
Soudain la brume se fit plus nette et cette… créature apparue. C’était donc pour ça qu’il lui avait semblé reconnaitre cette odeur. Pour ça qu’il n’arrivait pas à s’échappait et, … pour ça qu’il savait qu’il n’y avait plus d’espoir pour Alice et lui. Mais encore une fois pourquoi ? Que leur voulait-elle ?
Jasper voulu parler mais son subconscient ne lui en laissa pas le temps. Ses lèvres s’ouvrirent, il montra ses dents tandis que des cris rauques sortis de sa gorge.
« - Du calme Jasper… Oh tu n’as pas changé, toujours à être sur tes gardes comme un nouveau-né.
La réplique eu l’effet voulu, ou pas, un frisson traversa le corps dur et froid de Jasper et ce dernier prit une position de défense, bras écartés, prêt à sauter – comme s’il n’y avait pas une cage qui le séparait de son ennemis.
- Oh je comprends tu t’inquiète pour ta « femme » !
- Où est-elle ? murmura Jasper tellement bas que s’il ne s’adressait pas à un vampire, son interlocutrice ne l’aurait pas entendu.
- Les questions c’est pour…
Un cri la coupa nette. Le prisonnier s’était accroupi dans sa cage, tel un animal sauvage et hurlait à en cracher ses poumons, bien que cela ne l’aurait pas dérangé puisqu’il n’éprouvait pas le besoin de respirer.
- Oh je vois, dis calmement la vampire, on est très amoureux.
Un sourire avec des airs de victoires s’étendu sur ces lèvres.
Jasper essaya de se calmer et réussi à articuler quelques mots :
- Qu’est ce que tu viens chercher ici ?
- Oh je l’ai déjà trouvé, d’ailleurs mon colis est déjà entre les mains de mon « maitre ».
Jasper compris bien plus vite que ne le pensait son interlocutrice. Il hurla à la mort une nouvelle fois.
- Tu as envoyais Alice à ton psychopathe de maître ? cracha-t-il avec dédain une fois son hurlement stoppé.
Soudain le corps du prisonnier s’arqua avec violence et la douleur le submergea.
- N’insulte plus jamais Aro devant moi !
Jasper compris se qu’il se passait, il n’avait jamais était la victime du pouvoir de Jane mais Edward lui avait expliqué. Il essaya de rassembler ses esprits.
- Qu’est ce qu’il lui veut ? Qu’est ce que tu me veux ?
- Oh tu sais faire des phrases, je pensais que tu ne savais que grogner.
- Tais-toi ou je te….
- Serait-ce des menaces ? Attention Jasper je pourrais te montrer une nouvelle fois les merveilleuses vertus de mon don.
La question était purement rhétorique et Jasper l’ignora.
- Tu n’es là que pour inciter Alice à accepté notre offre, une sorte de chantage… Si elle accepte tu seras libre. Je sais que ce n’est pas très fairplay…
Jasper ignora la fin de la phrase. La douleur était si dense qu’il ne pensait jamais avoir un jour ressenti ça, même du temps où il se battait avec Maria et que les morsures des nouveaux nés lui entamées sa peau pale.
A suivre …