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 J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl

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Stécie Summers
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MessageSujet: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyDim 11 Jan - 21:53

Je n'est pas de nom encore pour mon livre , je tiens à préciser aussi qu'il fait pour le moment 50 pages. Bonne Lecture !
Préface
***


Quel idée m’avait traverser l’esprits quand j’annonçais à mes parents que je quittais la maison familial pour poursuivre mes études à l’Université de la région en m’installant chez ma tante Claudie. C’était il y avais deux mois de cela. Ils n’avaient pas objectés. Peut-être voyaient-ils en moi un avenir prometteur là-bas.
Absurde !
J’étais lamentable en classe et je n’avais aucun avenir qui me tendait les mains. Alors que pouvait-il m’attendre à l‘Université?
Pourtant, alors que je croyais que j’allais passer mes cours tranquille comme la routine quotidienne - se refaire de nouveaux amis, ce qui n’était pas chose facile pour moi - je fis la connaissance de Vin Salder. C’était lui qui était venus a moi, le 3éme jours de la rentrée. Généralement personnes ne venais me parler quand j’arrivais dans une nouvelle Université et je m’étais presque habituée. Vin était assez petit, les yeux vert émeraude et les cheveux ébouriffés d’un jaune couleur paille. Bref ce fut mon premier amis sans compter Katrin, qu’il avait rencontré peut de temps après. Elle était un peut simplette. Ces cheveux étaient d’un marron clair qui viraient au roux encadrant son visage pâle et ses yeux bleu qui étaient cacher par une paire de lunette fine. Elle était tout de suite tombée sous le charme de Vin et ne se quittaient plus depuis. Katrin c’était même donner l’objectif de me trouver un petit copain avant la fin de l’année et bien sur pour le bal, qu‘elle évoquait tout le temps.
C’était devenu la conversation de toute les étudiantes ,pour moi c’était encore une soirée que j’allais essayer d’esquivée si toute fois j’y arrivais car avec Katrin c’était pas chose gagné.
En cours , j’étais une véritable catastrophe et je commençais à me demander si cela avais été une bonne idée de venir ici .
Bien sûr !
C’est la que je rencontrais - pour moi, l‘homme de ma vie -moi qui m’était promit de n’avoir ni mari ni enfants, c’était déjà mal partie. Son sourire accrocheur me faisais fondre ainsi que ces yeux .Leurs couleurs marrons étaient d’une telles beautés que parfois j’avais l’impression qu’ils viraient au noir. Son charme m’envoutais. Pas étonnant qu’il soit là
priorité de toutes les filles de l’Université. C’était quelqu’un que tous le monde respectait.
Max en était conscient, mais ne prêtait pas attention a toutes ces étudiantes qui lui courraient après. Aucune d’elles ne l’intéressais, personnes n’étais assez bien pour lui .
Pourtant, ses yeux s’étaient définitivement arrêter sur moi, sans pour autant venir me parler. Il était très prudent et méfiant , comme si, il avait un secret, mais n’an restait pas néanmoins fière.
C’était en quelques sortes grâce a Katrin, si lui et moi avions sympathisés les jours suivant. Je ne voyais pas ce qu’il me trouver de plus aux autres filles mais je l’aimais et lui aussi .
Que me fallait-il de plus ?
Mon avenir promettait d’être certainement un conte de fée ! Vos impressions ?
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyDim 11 Jan - 22:03

1
***
Révélation



La forêt était sombre, c’était la nuit et j’ignorais ou j’étais ,tournant en rond sans pour autant savoir ou étais la sortie. Ma tête me tournait et les branches des arbres se mirent à bouger à toute vitesse. J’aperçu une silhouette plutôt mince, mon cœur commença a battre de terreur, je sentie les gouttelettes de ma transpiration tombé le long de mon cou. Soudain la silhouette bougea si vite que j’eu juste le temps de voir ses yeux qui étaient de couleur rouge vif, de fureur, puis elle disparue . Près de moi ce trouvait un petit bonhomme qui étais entrain de me vidé de mon sang , et découvrir mon corps inerte gisant a côté de lui .
Je me relevais violement de mon lit , m’essuyais le cou puis regardais l’heure qu’il était sur mon réveil, 5h00. Quel rêve affreux, pourtant je n’avais pas regarder de film parlant de tel chose. Soudain j’entendis un bruit près de la fenêtre, j’inspectais de mes yeux les environs à la recherche de quelconque individu, s’arrêtant sur une silhouette sombre près du rideau qui s’approchait doucement dans ma direction .
- Comment es-tu rentré ?
- Tu avais laisser la fenêtre ouverte. Répondait alors Max de sa voix envoutante.
- Et sa te donner le droit de venir à l’improviste ?
- Et bien … heu …. Je voulais te voir. Dit-il hésitant.
- Je te manque à ce point ? On se serait vu en cours !
- Oui je sais. Mais il faut que je te parle .
Je le regardais suspecte. Qu’avait-il a me dire de si important à une heure pareil ?Il s’approchait et vint s’assoir sur mon lit a côté de moi. J’avais une mine pitoyable après ce rêve, tandis que lui arborait une chemise blanche éclatante et un pantalon noir.
-Stécie ! Me héla-t-il. Sa fait combien de temps que nous nous connaissons?
Je fronçais les sourcils à la recherche de ce qu’il entendait par là .
- Heu … ça fait un mois maintenant … Mais pourquoi cette question?
- N’à tu jamais trouver que j’étais …. Différent ?
Qu’entendait-il par là, avais -je loupé quelque chose ?
- Non ! Aurais-je du voir quelque chose en toi ?
Il eu un soupire de désespoir et pris pitié pour lui .
- Ne t’es-tu jamais demander pourquoi j’étais le seul à te comprend aussi bien? Demanda-t-il avec douceur.
Pourquoi me demandait t-il cela? Suis-je encore entrain de rêver ? Était-il bien réel?
- Non, je suis bien ici. Me dit-il comme si, il répondait à mes questions.
- Comment fais-tu ça ?
Il eu une hésitation puis il ce lança dans une narration qui était pour moi irréel.
- Je ne suis pas humain … j’ai des capacités qu’aucun d’eux ne peut avoir.
- Comment … comment ça ? Tu me fais peur !!
Il se rapprochait de moi et prit mon visage entre ces mains. Elles étaient froides et j’eu un frisson qui me traversa le dos. Ces prunelles étaient noir et son teint quelque peut bronzé.
- N’est pas peur , je ne te ferais aucun mal. Dit-il. J’ai seulement quelque capacité a décrypté la pensée des gens … comme je l’ai fait ce soir…. Quand j’ai vu ce rêve affreux que tu faisais , je me suis … je dois dire un peut inquiété.


A suivre ...
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyMer 14 Jan - 20:15

Suite ...


- Tu … tu … as vu mon cauchemar? Demandais-je en tressaillant.
Une de ces mains descendit le long de mon corps pour aller ce réfugier dans le mienne qu’il serra doucement .
- As-tu peur de ce que je suis ?
Je frissonnais a l’entente de cette question. Si j’avais peur ? Oui et non. Je me sentais bien en sa présence, il me réconfortais quand je n’allais pas bien, il me faisait sourire , j’étais heureuse. Mais savoir qu’il n’étais pas si humain que sa et que si je me sentais aussi bien avec lui c’étais entre autre par ces dons. Alors oui j’avais peur rien que dit penser. Il m’avait cacher si longtemps la vérité. Il avait fait l’usage de ce dons sur moi me faisant croire que c’était son instinct. Il m’avait trompé !
A la tête qu’il faisais quand je relevais la mienne pour le dévisager quelque peut , il avais du entendre mes pensées. Il s’éloignait de moi doucement et retirait sa main de mon visage, de mes doigts.
- Je suis désolée que tu le prennes comme ça. Dit-il avec désespéré. J’aurais du te le dire avant.
Il y eu un grand silence et je le supportais pas. Je fus la première a le rompre. Je me leva de mon lit et m’approchait près de lui, enfouis mes doigts dans ses mains que j’enlaçais. Il me regardait l’air interrogateur.
- Tu ne pouvais pas savoir comment je réagirais, si tu m’avais annoncer la vérité quand nous nous sommes rencontrés, je crois que j’aurais eu du mal à l’accepter.
- Et maintenant ?Demanda- t’il perplexe .
- Je croyais te connaitre mais je vois que j’ai encore beaucoup à apprendre sur toi . Lui répondis-je avec un léger sourire.
Il me le rendit puis il fronça quelque peut les sourcils, comme si il réfléchissait .
- Es-ce que sa te dérange que je puisse lire dans les pensée des gens et dans les tiennes aussi ?
C’est vrai que la question était bien posée. Bien sur que cela me dérangeais mais il n’y pouvait rien , il était dotée d’un capacité dont il ne pouvait pas se séparer. Qu’il puisse lire dans mes pensées ou pas, je l’aimais et je l’accepterais comme il était . Avec ces avantages et ces inconvénients.
Il eu un léger sourire ,je n’eu pas de difficulté à savoir pourquoi.
- Je crois que cela va me dérangé légèrement, si je ne peut plus pensée toute seule.
- T’inquiètes pas , j’arrive à me contrôler. Me rassura-t-il.
- Vraiment ?
- Oui, sinon ce serait infernal en cours. Fit -il avec un sourire en coin de sa bouche.
-Alors si j’ai bien compris , tu peux t’arrêter de lire dans mes pensées la maintenant ? Demandais-je calmement .
Il affirma d’un geste de la tête.
- J’aurais une question à te posée maintenant. … A moin que tu es lu dans mes pensées ?
- Vas-y je t’écoute et je n’est pas lu dans ton esprit, rassure toi. Me dit-il .
- Bien ! Alors heu …. Tu peux entendre mes pensées jusqu’à chez toi ? Parce que sa me fait un peur. Avouais-je inquiète.
Il eu un éclat de rire, qui dévoilait ces dents blanches éclatantes, puis se calma et redevins sérieux.
- Non , mon don n’est pas si puissant, il s’étant que sur quelques distances.
Je fronçais les sourcils a la recherche de ma réponse. Comment avait-il pu alors me voir rêver si il ne pouvais pas m’entendre de chez lui?
- Mais comment expliques-tu que ….
- Je me promenais pas loin de chez toi . M’avouait-il en me coupant la parole.
Et bien voyons !
- Bon je vais te laisser dormir, il faut que tu sois en forme pour les cours. Sinon ça sera ma faute si tu dors en classe .
Il approchait son visage du mien et je sentis ces lèvres se coller sur les miennes. J’eu un frisson qui me traversait le long de ma colonne vertébrale. Il se redressa et eu un regard amusé. Puis il s’éloigna pour se rendre près de la fenêtre.
- Non ! Chuchotais-je. Ne t’en va pas. Reste !
Il se retournait et me regardait avec une douceur telle que je ne pu y résistée .
- Tu dois dormir, Stécie . Me dit-il .
Après ce qu’il m’avais avouer ,des questions ce bousculèrent dans ma tête qu’il m’était alors impossible de me rendormir. Mais il avais raison, j’étais fatiguée, après ce rêve affreux.
- S’il te plais, reste ! Je ne suis pas fatiguée.
J’étouffais un bâillement. Il s’approchait de moi puis me prit le poignet en me tirant vers lui, et m’enlaçait.
- Que veux-tu savoir? Me demanda-t-il.
- Rien! Mais c’est pas souvent que tu viens dans ma chambre à une heure pareil.
- Oui c’est vrai. Confirma-t-il . Mais de 5h…heu (Il regarda sa montre) 5h30 à 8h ça risque de faire long…. Tu résistera pas, tu vas t’endormir avant.
Il avait pas tout à fait tort. Les nuits blanches, c’étais pas mon fort. Mais je ne pouvais pas me s’éparer de lui, c’étais comme une drogue pour moi. Il m’avait envouter. Les soirs m’étaient étrangement long sans lui et le voir ici - dans ma chambre- à une heure pareille, je ne pouvais pas le laisser partir. Après tous il était peut être fatigué lui aussi. Temps mieux! Il aura qu’a dormir ici.
- Et si tu dormais la. Demandais-je doucement.
Il me regardait étonné. Ces prunelles avaient changer de couleurs, elles étaient redevenues marron.
- Il en n’est hors de question. Maugréa-t-il .
Je fronçais les sourcils, mit mes bras croiser sur ma poitrine. Il ne pouvais pas partir.
- Très bien ! Dit-il avec un sourire en coin. Je reste si cela peut te faire plaisir.
J’avais gagner ! Il s’allongeait près de moi , mit une de ses mains autour de ma taille, tandis que l’autre enlaçais mes doigts. Je sentis mes paupières s’alourdir, et dans le lointain la voix de Max résonnait.
- Tu es charmante quand tu es en colère. Me murmura-t-il a mon oreille.

Ainsi ce finit le premier Chapitre. A suivre ...
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyVen 16 Jan - 0:35

2
***
Adieu



Quand je me réveillais, je sentis une main se pausée sur ma joue. C’était lui, il était resté au près de moi .
- As-tu bien dormis ? Me Demanda-t-il .
Je me relevais et m’étirais. Relevant la tête j’avais remarquer qu’il s’était changer, il arborait un T-shirt noir et un pantalon assez large de couleur Kaki.
- Oh ! Non, tu as osez me quitter pendant que je dormais?
- Je ne pouvais pas rester avec mes vêtements de la veille. Se justifia-t-il en souriant légèrement .
D’un autre côté, il avais raison. Je sauta sur mes pieds et partie dans la salle de bain me faire une petite beauté. Quand j’en sortie un quart heure après , il était toujours la - a m’attendre - posé sur une chaise entrain de lire un livre . Mais ….
- Oh non ! Comment oses-tu lire mon journal intime.
Je me précipitais vers lui et lui retirais violement le livre de ses mains.
-Excuse-moi. Dit-il. Mais … faut dire que y’a pas beaucoup de livres dans ta chambre et je commençais a perdre patience.
- Pardon ?
C’était la meilleur ça !
Voila que c’était de ma faute si, il avait lu mon journal estimant que je n’avais pas été assez vite à me préparer . Pff!
-Bon ! On n’y va ? Me demanda-t-il en changeant de sujet.
Je le fixais d’un œil mauvais, mais avais du mal à lui en vouloir, il m’envoutais tellement.
- Oui allons-y . Dis-je indifférente.
Je descendais les escaliers et arrivais devant la porte d’entrée pendant que lui passait par la fenêtre pour ne pas éveiller les soupçons de ma tante. Je sortais sur le perron quand soudain une voix Cristalline m’interpela.
- Bonne Journée. M’annonçait Claudie.
- Merci.
Quand je fus dehors, je regardais très vaguement la voiture qui se trouvais devant le trottoir. Ca me manquait l’époque, où , j’avais ma petite 205 grise, c’était peut être une épave au yeux des gens mais pour moi c’étais mon petit bijou. Détestant qu’on m’offre des présents sans qu’il y est d’occasion spécial. Max avait trouver que ma voiture était trop vielle pour moi - qu’il me fallait quelque chose de plus « Sport » comme il disait. C’est alors que le jour de mon anniversaire, ma 205 rendu soudainement l’âme et qu’une magnifique 306 rabaisser d’une couleur noir étincelante m’attendait en remplacement. Il m’avait prévenu.
« - Un Jour ta voiture rendra l’âme et je serais la pour te la remplacer. »
Je lui avais pourtant dit que je n’en voulais pas mais cela avait été plus fort que lui . Pour moi ma 205 était encore valide mais comment aurais-je pu vérifier? Je mis connaissais pas en voiture. Il avait bien joué son rôle.
- Tu viens ! Me héla-t-il.
- Oui, j’arrive.
De l’autre côté du trottoir ce trouvait une magnifique porche jaune. C’était la sienne et il m’attendait, me tenant la porte.
- Heu… tu aurais pas pu prendre la Mercedes de tes parents … c’est plus…discret…. Enfin comparé à celle la.
J’avais horreur de me faire remarquer. Je m’étais tellement habituer à ce que les personnes m’ignore que maintenant leurs regards en devenaient presque gênant.
- Aller monte. Me dit-il avec un large sourire au lèvres. Je te promet que je me garerais assez loin de l’entrée.
C’est une première !
Je m’installais alors dans le bolide et nous filions à toute allure. Arriver près de l’Université, les grilles étaient fermer et un groupe d’élèves attendaient. J’aperçue plus loin des véhicules de Police, des Ambulances et des professeurs regrouper devant l’inspecteur .
- Que ce passe-t-il ?
- Il y a eu un accident. M’indiqua Max.
- Comment ?
Il se garait sur le parking en face des grilles et sortit de la voiture, fit le tour et vint à moi pour m’ouvrir la portière. Malgré le sourire qu’il me décocha, il était préoccuper, peut être était-il entrain de lire dans les pensées de l’inspecteurs et pourquoi pas des professeurs.
- Apparemment, quelqu’un est décédé. Dit-il soudain toujours l’oreille tendu .
Quand j’arrivais à hauteur de la foule, j’aperçue une grande silhouette mince aux cheveux brun ébouriffés qui lui descendaient le long de son visage laissant apparaitre de magnifique yeux marron pareil a ceux de Max. Je reconnue Kyle qui était accompagner de Mackaël qui lui, était beaucoup plus petit. Il avait ramené ses cheveux blond en arrière qu’il avait attaché avec un élastique. Bizarrement, ses yeux étaient identiques à ceux de ses amis. Max me prit par la main et m’entraina vers eux.
- Salut les mecs. dit-il.
- Salut Max .Stécie. Fit Kyle suivi de Mackaël qui approuvait d’un geste de la tête .
- Que ce passe t-il ? Murmura celui-ci à l’oreille de Max comme pour éviter que j’entende leur propos.
- Elle est au courant…. Je lui est tous raconter cette nuit. Fit alors ce dernier.
- Quoi ! Maugréas-t-il doucement pour ne pas alerter les autres personnes qui les entouraient.
Max fronçait les sourcils et lui fit un signe de tête pour l’incité à ce calmer. Tous aussi étrange que cela fut, Mackaël se décontracta aussitôt.
- Ok ! Alors il se passe quoi?
Max se concentrait sur les pensées des professeurs et de l’inspecteur qui étaient tous près. Quelque chose d’affreux devait le gêner car il avait les traits tiré, son teint virait soudainement au pâle, il était horrifié.
- Melle Néva est … est … décédé. Affirma-t-il.

A Suivre ...
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyVen 16 Jan - 20:17

Suite ...


- Comment est -ce possible ? Ce demandait Kyle en ce parlant à lui-même.
Mackaël quand à lui était figé. Melle Néva était notre Professeur de Science-bio. Elle était arrivée au milieu de l’année pour remplacer Mme Salver, hospitalisé à la suite d’un accident de voiture assez grave. Malgré les difficultés que j’avais dans cette matière, la venu de Melle Néva avait été bénéfique. Je n’avais pris prêté attention à ces allures gracieuse telle une femme venue d’ailleurs. Je fis tous de suite la comparaison entre mes trois amis si différents. Elle avait les même yeux, la même beauté et avait la manie de ramener ces cheveux en arrière en une queue de cheval.
Dans la foule, deux policiers s’égosillaient la voix. Je crus entendre vaguement - a cause du brouhaha - quelques chose comme «  l’Université sera fermer temps que nous n’aurons pas réglé l’affaire. Rentrez chez vous maintenant. »
Je regardais alors Max pour qu’il confirme ce que j’avais entendu. Quand il tourna la tête vers moi, il me posait un œil interrogateur ,puis il comprit ce que je voulais. Il avait du s’autoriser à voir dans mes pensée car il affirmait d’un hochement de la tête.
- C’est pas normale Max ! S’inquiétait Kyle.
C’est alors que celui-ci se pencha vers l’oreille de mon compagnon pour lui murmurer quelques phrases que je ne pu décrypté. A cette instant, Max le dévisageait - l’air inquiet - me pris par la main et m’éloigna de la foule accompagner de ces deux acolytes.
- Où vas -ton ?
- Ne pose pas de question Stécie …. Et suis le. Rétorqua alors Kyle.
Je ne comprenais pas ce qui se passais, mais Max paraissais énervé - très énervé - , regardant quelque fois derrière mon épaule pour inspecté les environs - à la rechercher de je ne sais quoi.
- On te rejoinds au hangar ! S’écriait Mackaël.
Max ne prêta pas attention à celui-ci et me fit monter dans sa voiture et fonça à toute allure en direction de la maison.
- Que ce passe-t-il ?
Mais il ne répondait pas , les yeux horrifiés de colère, il roulait - fonçait - sans prêté attention aux limitations de vitesse et je m’aperçue que nous étions qu’a quelque kilomètre de chez moi.
- Je t’en pris dit moi ce qui ce passe ! Tu me fait peur !
Il détourna la tête quelque peut vers moi, s’adoucissait et ralentissait.
- Je … cours un danger. Je te ramène chez toi…. Tu ne me reverra plus. Dit-il en hésitant.
- Quoi ? Mais c’est quoi cette histoire ? M’écriais-je affolée.
- Ne discute pas Stécie. Ne me rend pas les choses plus difficile quel ne le sont déjà.
Et il se focalisait cette fois sur sa route. Mon cœur se mit à accéléré, ma tête me tournais et mes mains tremblais légèrement a la vue de cette idée qui me glaçais cependant le sang. Comment pouvait-il me quitter sans explications? Qu’allais-je devenir sans lui? Rien que dit pensée, mes larmes commencèrent à rouler sur mes joues. Un silence retentissait et il ne me regarda plus jusqu’à ce que nous fûmes arriver. Prenant soin de se garer près du trottoir, il coupa le contacte et se détourna vers moi, essuyant mes larmes qui avais couler.
- Je suis désoler Stécie. Me dit-il avec compassion. Mais je ne veux pas t’infligé cela .
- Explique-moi je ne comprend pas.
Je n’arrêtais pas de pleurée, c’étais plus fort que moi.
- Crois-moi que si j’aurais eu le choix, je serais rester avec toi, mais je ne veux pas qu’ils te fassent du mal.
- Mais qui « ils » ?
Il pris mon visage entre ces mains, ses lèvres se collèrent au miennes et il me donna un long baiser .
- Descend maintenant ! Me dit-il aussi sec.
- Non !
Il descendit de sa voiture, fit le tour , m’ouvris la porte, pris mon bras et me tira en avant . J’atterrissais alors contre son torse et je l’enlaçais très fort - un moment - jusqu’à se qu’il me repousse. Il remonta dans sa voiture, il fila en un éclaire - vif comme le vent - et je ne le revit plus .
J’arrivais devant le perron et m’arrangeais un peut avant de rentré pour étouffé les soupçons que ma tante aurait pu avoir. Fermant la porte doucement pour ne pas la déranger dans ses comptes, j’allais monter a l’étage quand elle m’interpela.
- Tous va bien ? Me demanda-t-elle en s’approchant, les sourcils froncés.
Je me détournais un peu, pour cacher mon visage affreux.
- Oui tout va bien ! Répondis-je en m’éclaircissant la voix.
Sachant que je lui mentais, il m’étais impossible de lui cachée quoi que ce soit. Claudie arrivait à me lire comme un livre ouvert ce qui m’étais désagréable. Enrouler dans son peignoir, ces cheveux goutaient sur ces épaules solides. Ces taches de rousseur rendaient son visage agréable a regarder malgré l’étonnement qu’elle arborait. Je décidais alors de lui raconter ce qui c’étais passé à l’Université aujourd’hui. Mais elle prit la parole avant moi.
- Si tout va bien, comment expliques-tu que tu sois rentré à cette heure. Tu ne devrais pas avoir cours?
Voila qui me facilitais la tache, comme une lettre prête à poster. Vraiment trop facile.
- Et bien , l’Université est fermer pour le moment.
- Ah bon ! Fit-elle étonnée.
- Oui ,Melle Neva, ma prof de science-bio est décédé.
- Mais c’est affreux! S’écria Claudie. Puis elle me regarda étonner. Comment as-tu su que c’était elle ?
Quelle Idiote !
C’était Max qui me l‘avait dit. Aucun policiers auraient pris le risque d’annoncer une tel chose. Comment allais-je m’en sortir. Je ne pouvais pas lui dire la vérité sur les origines de mon compagnon, elle aurait refuser qu’il franchisse cette porte et m’aurait interdit de l’approcher, de peur qu’il m’arrive quelque chose. D’un n’autre côté, il y avait aucun risque puisque Max était parti. Je lui dirais donc la vérité. Et si, il revenait? Non je ne pouvais pas prendre un tel risque en dévoilant ces dons.
- J’ai entendu vaguement l’inspecteur en parler a certains professeurs. Mentis-je en m’efforçant d’être le plus crédible possible.
Sans prêté attention à ce que je venais de lui dire, elle repartie dans ces calcules.
Ouf !
Je montais dans ma chambre et me recroquevillais sur mon lit, jusqu’à m’endormir.


Les jours m’étaient extrêmement long. Je ne sortais plus, ne voyant plus mes amis - les deux seules que j’avais - , Vin et Katrin, pourtant ils me téléphonaient tous les jours pour prendre de mes nouvelles. Mais j’étais déprimée - morte a l’intérieur de moi - , je n’avais plus envie de vivre et cette réflexion me rappelais pourquoi - à l’époque où je vivais avec mes parents - je ne désirais avoir ni mari ni enfants ni amour. Parce que je redoutais le jour où cela s’arrêtais - comme avec moi en ce moment - je le regretterais toute ma vie. Je m’étais laisser prendre au piège avec Max , j’avais éprouver tellement de chose avec lui, qu’il m’avais fait oublier cette perspective de l’amour que je m’étais résolu à accepter. J’étais déduite, à croire tous ces sentiments qu’il me balançait de ces yeux ravageurs, de se sourire éclatant et de cette beauté éblouissante. Comment aurais-je pu résister? J’avais cette blessure au fond de moi qui réapparaissait - remontait à la surface, me déchirait, me brulait comme un feu que l’on réanime. J’étais à bout de souffle.
Je relevais le pied de l’accélérateur et me garais sur le parking en face de la grille de l’Université, qui avait réouverte une semaine après l’accident. Les Policiers avaient décrétés que Melle Neva c’était suicidée à la suite d’une nouvelle qu’elle aurait apprit par téléphone - la mort de son père - pourtant je n’y croyais pas. Pourquoi Max se serait-il enfuit si se n’était qu’une nouvelle de la communication qui l’avait tuée? Il y avait autre chose.
- Stécie ! M’interpella Katrin qui frappait sur la vitre de ma voiture.
Je lui fit un léger sourire et sortie pour me retrouver à hauteur d’elle.
- Comment vas-tu Katrin? Lui demandais-je sans trop peu d’importance.
- Bien ! Me répondit-elle puis elle fronça les sourcils et me regarda anxieuse, hésitante . Et heu … toi sa va ?
Tout le monde avait su se qui m’étais arrivée. Dans ce si petit village, cette histoire n’était pas passée inaperçue. Trois élèves qui disparaissent et une jeune fille déprimée, comment ne pas le remarquer.

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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyVen 23 Jan - 14:02

Suite ...

-Oui ça va.
Elle m’emboita le pas pour allez en cours. Chacun d’eux m’étaient pénible, je sentais les regardes sur moi, me dévisageant ayant pitié. Des rires aussi, venant certainement du groupe, de se genre de filles avec qui je ne m’entendrais jamais .
Katrin quand à elle, levait la main à tout va , pour saluer les personnes qu’elle connaissait - même ceux qui lui étaient étranger d’ailleurs - elle passa un œil au dessus de sont épaule pour surement vérifier si je m’étais pas envolée.
Je vis, Vin au loin, au fond de la cour qui nous faisait des grands signes de la main. Katrin courue vers lui et l’embrassa.
- Salut Stécie! Est-ce que tu vas mieux ? Me demanda-t-il.
Sans n’étais trop ! J’étais déprimée mais il ne fallait pas exagérer, je n’étais pas à l’agonie.
- Oui ! Je vais très bien ! Voila tu es content !
- Oh oh ! Calme toi ! S’esclaffa-t-il.
Je croisais mes bras sur ma poitrine et le fixais d’un regarde furieux, alors j’entendis la sonnerie retentir.
Tiens elle tombait bien celle-là !
Je tournais les talons et me dirigeais vers la classe sans prêté attention aux deux tourtereaux. C’est alors que Vin se mit à courir pour me rattraper et me tirer par le bras.
- Ecoute ! Je suis désolé. Je voulais pas … t’offenser. Mais, moi et Katrin, on s’inquiète beaucoup pour toi. Avoua-t-il.
- Sa va ! M’écriais-je en essayant de rester calme. Je vais bien ! Tu n’as pas à t’inquiéter, c’était juste une passade.
« Une passade ? » En tous cas je l’espérais.

A la cantine, les yeux bleus de Katrin c’étaient émerveiller quand elle aperçue Ophélie qu’elle avait rencontré lors de leurs séance de sport où toutes les deux avaient collaboré pour jouer ensemble. C’était une véritable poupée Barbie - j’aurais donnée n’importe quoi pour lui ressemblé - Elle arborait un magnifique chemisé blanc déboutonné à hauteur de sa poitrine pour laisser paraître un sublime pendentif de Ankh - la croix d’Egypte - surmonté de sa chaine en argent. Ces cheveux étaient d’une couleur jaune pâle avec quelque nuance de marron chocolat, couper carrée légèrement ébouriffé donnant l’impression de plumes s’envolant à la réaction du vent, laissant paraître son visage au teint bronzé et maquiller faisant ressortir le vert émeraude de ses yeux. Une grosse ceinture noir entourait sa fine taille et une radieuse jupe légère en coton blanc cassée qui virait surtout sur la couleur crème, laissait découvrir ses escarpins noir. J’avais l’impression de voir un ange à chaque fois que je l’apercevais.
- Bonjour tout le monde! Dit-elle d’un sourire éclatant qui dévoilait ses dents impeccablement blanche et bien aligner.
- Salut Ophélie! S’excita Katrin qui tapait de sa main la chaise libre près d’elle. Sa te dirait de se faire un cinéma ce soir ?
- Oh ! Oui ! Dit alors cette dernière.
Puis Katrin s’adressa à Vin et Moi, pour savoir si nous étions partant aussi.
- Mais … Vous allez voir quoi ?
Par curiosité.
Katrin et Ophélie se regardèrent un instant puis elles se tournèrent vers moi en me dévisageant.
- Cela se voir que tu as été couper du monde un petit moment. Assura Ophélie.
Je les regardais , interrogateur, sans trop savoir ce que j’avais ratée ces dernier temps.
- Tu n’es donc pas au courant du film qui fait fureur en ce moment et qui rapporte temps de succès dans le monde? Me demanda alors Katrin étonnée.
Effectivement j’avais du louper un sacrée bout d’épisode. Je lui répondais d’un hochement de la tête négativement assez gênée cependant.
- C’est le Seigneur des Anneaux. Chuchotait Vin à mon oreille qui - je le suppose - mes amies n’eu pas de mal à décrypter.
- Ah !
- On se retrouve la bas à 20h30? Ok? Demanda Katrin.
- Pas de Problème. Confirmait Vin.
A ces mots, on partait en cours quand la sonnerie retentissait.


Ainsi ce finit le Chapitre 2 , A suivre ...
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyVen 30 Jan - 19:36

Suite ...


3
***
L’ange


J’avais le pied enfoncé sur l’accélérateur, puis il y eu un à-coup. Que c’était difficile de conduire une telle voiture quand j’avais été habituée à ma petite 205 qui se trainait. Avec cette 306, c’était différent, à peine j’enfonçais la pétale qu’elle réagissait au quart de tour, c’était vraiment impressionnant. Des fois je me disais qu’elle avait peut être été arrangée par lui en personnes. Non ! Je ne devais pas pensée à lui. Alors un frisson parcouru ma colonne vertébrale. Le cinéma était peut être une bonne idée, après tout, cela me changerais de la maison et de mon lit .Et puis le « Seigneur des Anneaux » était plus un film d’affrontement qu’autre chose - enfin je l’espérais.
Je détestais ses kilomètres d’arbres qui s’alignaient sur les deux côté de la route. Même pas un chat en vue, cela m’en donnais des frissons et finalement je reconnue que ma 306 était une satisfaction comparer à mon ancienne épave - je serais surement tombé en panne à cette heure-ci.
Quand je me garais sur le parking, ils s’étaient déjà tous la à m’attendre. Etais-je en retard ?
- Ah te voila enfin ! S’exclama Ophélie. On n’a pensé que tu t’étais désistée au dernier moment.
Mes réflexions en voiture m’avais sérieusement ralentie dans ma course.
Dans la salle, Vin entrelaçait les doigts de Katrin, tandis que celle-ci lui caressait les cheveux de sa main libre. Quant à Ophélie, elle c’était placée entre Vin et moi, fouillant dans son énorme sac de cuire brodée pour en sortie un rouge à lèvre qu’elle appliquait sur celle-ci. Décidément je ne pourrais jamais devenir comme elle.
La séance commença, et je crus que j’allais dépérir. Ces braves personnes de race différentes possédaient des pouvoirs qui me rappelait - lui - ce film était vraiment mal parti pour moi. J’attendais l’attaque , le sang, les morts tout ce que j’en conclu, c’est une histoire d’amour entre une Elfe et un Humain.
Pff !
Sa commençait à devenir ennuyant et ma blessure refaisait soudainement surface, mes mains tremblaient légèrement et je sentais mes larmes montés. Je sortis précipitamment et attendis mes camarades à l’entrée.
Après une bonne heure, je vis mes amis quitter la salle.
- Qu’est-ce qui c’est passez Stécie? S’inquiéta Vin à mon égard.
Zut ! Qu’allais-je trouver comme excuse?
- Heu … et bien… c’est pas trop mon genre de film.
- Tu rigoles! Comment ne pas aimé un film pareil ! S’étonna Ophélie.
- Tu dois être la seule à ne pas apprécier. Renchérie Katrin.
Je haussais les épaules, partie rejoindre ma voiture, montais, et mis le contact en disant au revoir à mes amis. J’aperçue dans mon rétroviseur, que Vin et Katrin me suivaient.
Logique !
Ils habitaient pas très loin de chez moi. Soudain, j’ignore si j’étais entrain de rêver mais je fus obligé de faire une embardé pour évitée une jeune femme aux cheveux bruns retenue par une natte. Malheureusement je l’avais renversée, m’arrêtais net pour m’apercevoir qu’elle c’était relever sans trop de mal. Comment était-ce possible? J’aperçu Vin face à elle à quelques mètres, les mains légèrement relevés et ouvertes au niveau de ses hanches comme si, il invoquait les esprits. Soudain, le vent se leva, soufflant de plus en plus fort, une pluie fine violente qui se déposa sur mes joues. Je découvrais que les yeux de Vin n’étaient plus vert mais marron agressif, qui me rappelais quelque chose, où, plutôt quelqu’un - Max - c’étais exactement la même colère que celui-ci. Et c’est alors que le vent déchira le ciel, fouettant mon visage si fragile. La jeune femme resta pétrifiée puis ses lèvres marmonnèrent comme un sifflement que je ne pu décrire, une langue qui m’étais inconnue. Vin lui répondait par la même intonation. Katrin qui s’étais réfugiée à côté de sa voiture, était terrorisée, pétrifiée, effrayée - mais pas par lui - par elle. Était-elle donc au courant des dons que certaines personnes pouvaient avoir? et son amis en faisait partit. Soudain tout redevint calme et les nuages disparurent laissant place à la lueur du soleil qui réchauffa mes joues humides. Par un bond majestueux, la jeune femme partie aussi vite qu’elle était venue.
Vin s’approcha de moi et me tendit la main pour me relever. Je ne m’étais pas aperçue que la peur m’avait fait accroupir retenant mon manteau au passage J’eu une hésitation. Après tout, pourquoi être effrayée? Il m’avait sauvé la vie, et ne s’était pas montré agressif envers moi depuis que je le connaissais.
Je pris sa main et il me releva d’un coup sec mais bienveillant.
- Est-ce que s’a va? Me demanda-il.
J’ouvris la bouche mais aucun son n’en sortait, je n’arrivais pas à prononcer un seul mot, j’étais encore pétrifiée par le spectacle que j’avais vu . Ce qui m’effrayais c’était le fait que mon meilleur ami soit l’une des espèces de Max. Ce qui ne serait pas facile à oublier pour moi maintenant. J’allais vivre un calvaire à présent. Parce que je savais que voir Vin me ferais repenser à lui et cela me serait insupportable.
Je fis un geste de la tête en réponse à sa question. Il me regardait anxieux s’inquiétant peut être de mon état après les événements ?
- Je sais que cela te parait étrange mais je peux t’expliquer… commença-t-il.
- Non c’est bon ! Je sais ce que tu es. Enfin …
Je fronçais les sourcils, j’étais en doute. Est-ce que je savais exactement ce qu’il était? Non ! bien sûr que non. Max m’avait avoué ses dons mais je n’avais pas eu assez de temps pour lui poser mes tonnes de questions. Était-il de ce monde ? Était -il dangereux ? Comment expliquer qu’il est ces capacités ? Est -il Humain ?
- Stécie ! M’interpellait Vin toujours aussi inquiet, me faisant sortir de mes réflexions. Tu es sur que sa va ?
- Oui. Je vais bien !
Tu parles ! J’étais effrayée !
Ma vie s’était toujours révélée banale sans rien de particulier. Je n’avais jamais crus aux légendes de personnes dotés de pouvoir Magique , où, de n’importe quel dons. Je me résolu à y croire finalement, après ce que j’avais vue c’était inévitable.
- Ok ! Je vais te ramener Stécie. Déclara Vin en regardant Katrin toujours adossée à sa voiture, lui faisant comprendre que finalement elle rentrerait toute seule.
- Mais Non ! je vais très bien ! Je peux rentrer toute seule
- Je sais que tu as peur de ce que tu as vu, mais tu ne peux pas rentrer toute seule… tu es en état de choc. Rétorqua- t-il.
En état de choc ? Moi ? Sa c’était la meilleur. C’est vrai, que de savoir Vin différent de se que j’imaginais de lui, m’avait légèrement choquée, mais pas au tant que la jeune femme dont j’ignorais le nom. Il en faisait vraiment de trop.
- Je n’ai pas peur ! … je ne suis pas choquée non plus !
Vin et Katrin me regardèrent étonnés par ma détermination. Je ne voyais pas trop pourquoi. Elle était au courant de se qu’il était, pourquoi pas moi?
- J’ai juste été surprise de voir que tu étais pareil que … Max. Expliquais-je en hésitant et accrochant sur le dernier mot qui m’étais de plus en plus pénible a prononcer.
- Quoi ? Qu’as tu dis ? S’exclama-t-il.
A son étonnement, je réfléchissais à se que j’aurais pu dire de si … offenser. Katrin s’approchait de moi laissant sa voiture derrière elle.
- Tu as bien dit Max ? Répéta-t-elle lentement.
- Heu … Oui. Pourquoi ?
J’avais cru qu’ils étaient au courant - enfin du moins Vin - mais apparemment celui-ci aussi l’ignorait. D’un seul coup une pensée me déchira le cœur. Avais-je éventé la couverture de mon amoureux sur ces origines ? Mon dieu ! Qu’avais-je fais ?
- Quesque tu entend par «  je suis pareil que Max »? Me demanda soudainement Vin qui avais l’aire de réfléchir autant que moi .
- Bien heu …Max … as des capacités aussi … Différentes des tiennes mais …
- Quels capacités ? Me coupa t-il.
- Et bien, il peut lire dans les pensés des gens. Répondis-je à voix basse.
Vin retira tout d’un coup sa vigilance, et se détendit, comme si se que je venais de dire l’avait apaisé.
- Je ne savais pas qu’il était l’un des autres. Rétorqua alors celui-ci.
Je ne comprenais plus rien. Y’avait-il différentes espèces? Combien était-il ? Je voulais posé toute ses questions mais je n’osais pas … Oh ! Pis après tous pourquoi ?
- Tu peux m’expliqué, je comprend plus rien.
Vin acquiesça, fit un signe de la main à Katrin pour qu’elle regagne sa voiture. Tendit qu’ il m’attendait au volant de ma 306.
- Nous allons allez dans un endroit plus calme… à l’abri des regards. S’exprima-t-il.
Il eu alors, à cette instant, un silence sans fin. Quand il ralentissait, je m’aperçue que nous étions près du lac qui se trouvait au milieu de la forêt où l’accident avait eu lieu un peut plus loin. Katrin nous suivait et arrêtait sa voiture près de la mienne avant dans sortir.
C’est alors que Vin commença sont récit.
- Je sais pas trop comment t’expliquer cela. M’avoua-t-il.
- Heu … ouais … je me pose beaucoup de questions.
Vin me regarda et me laissa prendre la parole, tendit qu’il tenait la taille de Katrin.
Je savais pas trop part où commencer, mais je devais savoir, cela me donnerais peut être un aperçue de se qu’était Max. Je décidais d’attaqué fort.

A suivre ....
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyLun 9 Fév - 15:27

Suite ....
- Est-ce que tu es Humain ?
Il eu un léger sourire puis redevenu sérieux.
- En quelque sorte nous avons votre apparence et les mêmes capacités. Répondit-il.
- Alors sa veut dire que vous êtes des … Humains … améliorés !
- Oui si on veut. S’éclaffa-t-il.
Katrin ne disait toujours rien, elle écoutait et me regardait prudente guettant un certain évanouissement de ma part.
- Nous, nous sommes toujours cachés à l’abri des regardes des Humains pour éviter la terreurs de ceux-ci. Parce que quand on n’est doté de dons exceptionnelles cela fait toujours … peur mais nous ne sommes pas des monstres, malgré se que peuvent en penser les Elfires.
- Pa… Pardon ! Bafouais-je à l’entente du dernier mot.
Vin s’embla hésité mais il en avait déjà trop dit.
- On pourrait y traduire par les Elfes Protecteurs, dans ta langue. Ils nous considèrent comme un danger pour les Humains, et cela fait des Millénaires qu’ils nous chasses, nous traques, nous éloigne à l’approche de tout être normal.
- Mais depuis quelques temps, leurs but est de les détruire, d’exterminé leur race. S’exprima alors Katrin pour la première fois.
- Mais pourquoi ?!
- Nous l’ignorons. Nous avons toujours été très prudent envers les Humains, les approcher sans jamais avouer nos origines est une des règles à ne pas enfreindre. Continua Vin.
- Il faut que tu saches Stécie, que Melle Neva était une des leurs. Déclara Katrin.
- Comment ?
- Je suis presque sûr, que ce sont les Elfires qui l’on tuée. Surement parce qu’elle était trop proche des Humains. Accusa-t-il.
Puis il fronça les sourcils tout en réfléchissant. Que lui arrivait-il ?
- Max c’est enfuit parce qu’il savait exactement se qui se passe. Il a du lire dans les pensées des personnes. Reprit-il.
- Il était très anxieux, excité… énervé aussi. M’exclamais-je pour l’aidé un peut.
- Il faut absolument qu’on le retrouve, qu’on sache se qu’il a apprit depuis. S’exclama Vin.
Mon dieu ! Il allait me faire réouvrir ma blessure. Mais j’avais vraiment envie qu’il revienne - non je voulais qu’il vienne - mais comment le retrouvé ? J’ignorais ou il se trouvait, c’était impossible. A cette idée mes espoirs de le revoir tombèrent alors à l’eau . Un Frisson me parcourue le corps, je sentais mes larmes montée - de plus en plus. Soudain une voix Évangeline souleva mes réflexions et je fût submergée par la beauté de cette individu aux allures d’ange qui venait d’apparaitre de nul part. Je n’avais pas l’impression qu’il marchait mais plutôt qu’il volait. M’éblouissant comme dans un rêve, millions de rayons autour de lui, c’était la pureté même. S’approchant de nous - Vin sur ses gardes - un arôme délicat apparu, me chatouillant les narines, envoutant, délicieux, agréable. Je respirais à plein poumons. L’individu nu pas de mal à voir mes réactions et il laissa paraître un sourire tout en s’approchant de plus en plus. Vin remonta de vigilance, se plaçant devant Katrin et moi. « L’Ange » leva les mains pour lui montrer qu’il nous voulait aucun mal mais qu’il désirait seulement parler.
- J’ai entendu votre conversation. Avoua celui-ci. Et j’ai crus comprendre que vous vouliez arrêté le massacre des Elfires sur votre race.
- Ouais ! Et alors ? Rétorqua Vin toujours aussi méfiant.
- Je crois pouvoir vous aider. Rétorqua le bel « Ange ».
- Non ! C’est bon ! On va se débrouiller. Coupa Vin assez sévèrement.
L’individu le regarda alors à son tour, les traits de son visage était cette fois serré, perdant toute la sympathie qu’il nous avait fait par auparavant. Ces prunelles se changèrent en un violet mauve, qui me paru électrique, au moment ou je les contemplaient. Un frisson encore plus intense me traversa, la peur apparue, l’angoisse se fît plus forte. Je voulais courir, m’enfuir, mais ses prunelles si magnifique - de colère - m’hypnotisais, figée sur mes pieds sans pourvoir bouger. Je ne sentais plus mon corps - mes mains, mes jambes - comme bloquée. La sensation de panique montait jusqu’à ma gorge en une boule que je voulu ravaler. Devant moi se trouvait toujours Vin, il serrait les poings mais me paru aussi figé que moi. J’aurais voulu voir Katrin qui était juste à côté mais je ne pouvais pas bougée, et je supposais qu’elle devait surement subir la même chose que nous.
- Je n’ais pas l’intention de vous tués. S’exclama l’« Ange » toujours aussi éblouissant malgré sa fureur.
Mes membres se détendirent, mes doigts se décrispèrent, mes jambes se plièrent sous le choc et me fit tombée en avant sur mes genoux. En relevant la tête, les prunelles de l’individu avaient changer retrouvant toutes leurs clarté d’un blanc diamant aussi luisant qu’une pierre précieuse bien astiquée. Il était redevenu calme.
Les poings de Vin étaient toujours aussi tendu. Il n’avait pas l’intention de lâché prise, la proie qui se trouvait devant lui, comme si celle-ci allait l’attaquer d’un instant à l’autre.
- Comment peux-tu dire une chose pareil. Je sais qui tu es! S’égosilla Vin d’un grondement.
L’intéresser le regarda fixement lui lançant un regard méfiant.
- Cela fait bien longtemps que j’ai été banni des Elfires pour avoir essayer de rallier votre cause. Mais vous ne m’avez pas facilité la taches ses derniers temps avec tous ses meurtres d’Humains. Je croyais…
- Pardon ? Coupa alors Vin qui fronçait les sourcils. Vous mettez vos bavures sur notre compte ?
- Non ! Rétorqua le Bel « Ange ». La règle était pourtant simple, ne pas tué d’Humain et les approcher au minimum. Vous avez enfreins ses règles.
- NON ! Cria-t-il sautant à toute vitesse sur son adversaire mais à quelque centimètre de « l’Ange », celui-ci se figea et se crispa. Je compris alors que la douleur que j’avais ressentie quelque minute avant, avais été provoqué par lui.
- Laissez le. Demanda Katrin choquée par se que son amis était entrain de supporter.
L’individu relâcha sa prise.
- Je ne veux pas le tué. Répéta-t-il. Je vous l’est dit, je veux simplement vous aider.
- Prouvez-nous que ce n’est pas un piège ! Que les Elfires ne vous ont pas envoyé ! Grogna Vin qui se remettait de ses émotions.
- J’ai été envoyé effectivement par une personne… mais pas par eux (il détourna le tête vers moi) mais par quelqu’un qui vous est chère. Répondit-il.
Mes yeux brillèrent de joie. Était-il un messager que Max m’avait envoyé ? Cela voulait-il dire qu’il m’avait pas oublié ? Qu’il pensait toujours à moi. Allait-il revenir ? Ou bien avait-il confié ma sécurité à ce « Bel Ange » . Et si ce n’était pas lui ?
- Vous avez comprit Mademoiselle . M’assura-t-il.
J’eu une hésitation.
- C’est bien de … Max que vous parlez ? Demandais-je s’entend l’angoisse montré - si jamais se n’était pas lui.
- Oui ! Stécie. Répondit-il avec un large sourire. Il s’inquiète énormément pour toi.
- Mais pourquoi ?
Je ne comprenais pas. Etais-je en danger ? Qu’avais-je fait de mal ? Je n’étais qu’une Humaine après tous.
- Max n’aurait jamais du te dévoiler notre existence . Les Elfires sont à ta recherche… (j’eu le souffle coupée) ainsi que Max et ses amis pour tous ses meurtres. Ils ont l’intention de te protégé de lui. Rétorqua l’individu.
- Mais nous ne tuons pas les Humains. S’emporta Vin.
- Je te crois. Admit-il. Je pensais que tu faisais partie de l‘autre groupe.
- Hein ? Quoi ? Quel groupe ? S’étonna mon amis.
- Depuis peu, un clan s’est formé … des Elfes Noirs et ils …
- Tues les Humains. Compléta Vin .
Le Bel « Ange » acquiesça d’un hochement de la tête. C’était donc sa, la femme qui c’était jeter sur ma voiture voulait me protéger de mon amis. Le clan de mon amoureux était un danger aux yeux des Elfires. Alors que se n’était pas le cas. Un n’autre groupe c’était former depuis et désirait contrôler le « monde » des Humains en les exterminant. Mon Dieu ! Combien étaient-ils ?
- Que devons nous faire?
- Je vais retrouver Max, je vous appel dès que j’en serais plus. Pour l’instant rentré chez vous. Répondit l’individu.
Il tourna les talons tandis que Katrin rejoignait Vin qui lui prit la main et l’entraina à sa voiture. Puis fila comme une flèche.
- Attendez !
Celui-ci s’arrêta net et me regarda interrogateur. J’avais tellement de questions à son sujet que je ne pouvais pas rentrer chez moi sans s’avoir - pour commencer - qui, il était. Et pourquoi pas lui demander des nouvelles de celui qui enflammait mon cœur.
Je courue pour arriver à son niveau et lui emboita le pas.
- Qui y a-t-il ? Me demanda le « Bel Ange » qui me paru encore plus éblouissant que jamais.
- Heu … Et bien, je sais pas trop par ou commencer. Je n’est pas eu la chance de parler avec … Max sur se que vous êtes … je doit avouer que sa m’échappe un peut.
Il eu un léger sourire. Ouf ! Il ne m’en voulait pas de vouloir en savoir plus sur eux.
- Max et ses amis sont des Elfes Noirs, se qui veut dire qu’ils viennent des ténèbres. Ils sont le mal… ils ont été crée pour détruire les Humains … Pour tuée ….
Oh ! Non ! J’aimais le mal, le diable. Pourquoi les mauvaises choses tombaient toujours sur moi ? C’était affreux ! Comment allais-je pouvoir me séparer de lui? C’était déjà assez pénible de vivre sans lui depuis qu’il m’avais laisser. Et si, cela faisait partis de ses plans ? Me séduire pour pouvoir mieux me tuée ? Rien que dît pensée, mon sang se glaça.
- Mais depuis des années, Max et ses amis ont décidé de se rallier au bien. Jusqu’ici tout allait bien mais depuis quelques temps des Humains innocents se font tués. J’ai crus au début que c’était eux mais quand je l’est rencontré, je me suis aperçu qu’un autre clan s’était formé … ( il s’arrêta un instant) c’est eux qui exterminent votre race.
Ouf ! Je m’étais finalement trompée sur le compte de mon amoureux, il n’avait rien avoir avec ses meurtres. Du coup, je fût soulagée. Mais mon angoisse réapparue.
- Mais … vous parler des Elfes Protecteurs, enfin des Elfires comme si vous n’en étiez pas un ?
Il eu un sourire puis il s’arrêta net, se retournant vers moi.
- Je ne suis effectivement pas un… Elfe Protecteur, je suis un Ange. S’exclama-t-il.
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyVen 13 Fév - 18:39

Suite ....
Je comprenais mieux pourquoi il me paraissait éblouissant .
- Je suis le dernier de ma race… Pendant longtemps j’ai rechercher des gens, des personnes qui auraient pu me ressembler mais ils ont été tous exterminés par votre race.
- Quoi ?
- Te rappel-tu des livres qui explique l’extermination des sorciers et sorcières au Moyen-âge?
- Heu … Mais quel rapport ?
- A l’époque nous étions considérer comme des sorciers, que nous étions des âmes damnés . Ma race s’est éteinte à se moment là. Je n’étais qu’un enfant, et je me suis retrouver seul, sans savoir se que j’étais vraiment, incapable de contrôler mes dons. Tu sais quant on se retrouve perdu, seul, on n’a qu’une envi, c’est de mourir…. mais les Elfires sont venu et ils mon élevés. Je les remercierais jamais assez, malgré qu’ils mais exilé pour rallier la cause de Max.
- Je suis vraiment désoler … Je.
- Non, ne t’inquiète pas, j’ai surmonter tout cela il y a bien longtemps. … Bon tu en sais bien assez maintenant. Rentre et repose toi. Tu as vécu tellement de choses aujourd’hui que tu dois être fatiguée. Dit-il avec un large sourire.
Oh ! Je n’étais pas prête à me reposer ! Après tous se que je venais d’apprendre, j’aurais du - plutôt - être effrayée mais se n’étais pas le cas, ma vie avait été si banale qu’elle commençait à devenir intéressante.
Quand je regardais autour de moi, je m’aperçue que nous étions de retour à ma voiture après avoir fait le tour du lac qui m’avais paru moins long que si j’avais été toute seule. « L’Ange » donna un coup d’œil à ma 306 pour m’indiqué qu’il n’avait plus l’intention de dévoilé quoi que se soit sur sa vie où sur ces races extraordinaires, légendaires. Je me résolu à monter dans ma voiture quand quelque chose me traversa l’esprit.
- Heu… je sais pas si j’ai le droit de vous le demandez, mais quelque chose m’inquiète.
-Ah! Bon! S’étonna-t-il. Quoi donc ?
J’hésitais un peu, c’était peut être déplacer mais si, il prétendait être un Ange…
- Ou … sont vos … ailes?
Il s’esclaffa un long moment et je tentais de déchiffrer sa bonne humeur en vain. Puis il retrouva son sérieux.
- Tu lis beaucoup trop de livres fantastiques. Il ne faut pas croire tout se que l’on raconte.
- Alors les ailes, l’auréole, tout cela , n’existe pas?
Il baissa légèrement les yeux.
- Non, tout à été inventé. Ce n’est pas le manque d’ailes qui peut m’empêcher de m’éclipser en une seconde. En relevant les yeux et laissant paraître encore un fois un léger sourire.
J’avais encore plus de questions à lui demander, voyant mon expression, il ne fut pas difficile de comprendre.
- Vas te reposée. Insista-t-il.
Oui j’admettais que maintenant il était grand temps de rentrer, je mis le contacte.
- Et au faite Stécie ? Dit-il. Tu peut me tutoyer. M’éloignant sur la route principale, quand je regardais dans mon rétroviseur « l’Ange » s’évapora en une demi seconde
Ainsi ce finit le Chapitre 3 !! A suivre ...Vos impressions ... ?
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptyJeu 19 Fév - 17:28

4
***
Retrouvailles



C’était toujours la même forêt que dans mon précédent rêve mais le vampire et ma mort n’était plus le centre d’intérêt. L’environnement s’étend éclairci laissant passer les rayons du soleil. Le Bel « Ange » - dont j’ignorais le prénom - se tenait à côté de moi. Il dégageait une lumière éclatante qui m’éblouissais, son odeur qui émanait de lui ressemblait à un arôme de pomme, poire avec une touche de cannelle. J’étais tellement bien que je ne voulais pas me réveiller mais un bruit - de respiration - retiens mon intention. Alors j’ouvris doucement les yeux et chercha dans la pièce - quelque chose, où quelqu’un mais j’étais toujours dans mon rêve et j’entrepris de refermer mes paupières. La respiration - très difficile - s’accentua d’avantage.
Je sursautais et me redressais d’un bond sur mon lit. Je vis une ombre près de la fenêtre. Je me rappelais pas l’avoir laissez ouverte cette nuit ? Je m’approchais de l’individu quand mon cœur bâtas à toute allure, mes mains se mirent à trembler comme une feuille. Une odeur rafraichissante m’envahissais, me faisant frissonner.
- Je suis désoler … de … t’avoir réveillé. Dit Max avec difficulté.
Il arborait toujours sa belle chemise blanche - qui était légèrement entrouverte - et son pantalon noir cintré. Il était quelque peut pencher et sa main soutenait son abdomen. Une odeur étrange - qui me retourna le ventre - s’entremêla à l’arôme de pomme. Son autre main était posé sur mon bureau comme pour se soutenir, d’un mal en lui.
Je m’approchais, et enroulais mes mains autour de sa taille pour le soutenir , l’emmenais à mon lit pour le faire assoir.
- Ah , ouille ! Souffla-t-il.
- Mais qu’est-ce qui t’arrive?
Ces prunelles plongèrent dans les miennes, elles étaient noir et je sentis la souffrance, la colère, mais pas une pointe de peur comparé à moi. Il retira sa main qui soutenait son abdomen et laissa paraitre une entaille très profonde maculé de sang - d’où l’odeur étrange.
- Quesque … je … que dois-je faire? Demandais-je effrayer.
Il hésita quelque peut.
- As-tu … de l’alcool et du …coton ? Murmura-t-il avec difficulté.
J’acquiesçais et m’activais rapidement pour atteindre la salle de bain.
- Attend ! S’écria Max. Il me faudrait aussi du fil et une aiguille.
Je le regardais les yeux écarquillées, venant de comprendre se qu’il voulait faire - se soigner lui-même - car l’amener à l’hôpital, était comme un suicide du faite que son sang n’est pas comme le notre. Les médecins l’auraient tout de suite vu et auraient pratiquée des expériences. Mais vu la profondeur de la blessure et l’emplacement légèrement situer sur le coter gauche je savais se qui m’attendrais quand je reviendrais de la salle de bain.
Cherchant ou ma tante - Claudie - avait mit l’alcool et le coton, je descendis les escaliers et allais m’emparer d’une des aiguilles qui se trouvaient dans une des commodes du salon ainsi que du fil - de préférence noir.
Quand je rentrais dans ma chambre, j’aperçue Max allonger soutenant toujours son abdomen. Quand il me vit, il se redressa lentement. Je me précipitais.
- Non ! Ne bouge pas !
- Ne t’inquiètes pas . Murmura-t-il. Je vais guérir assez vite.
Pourtant ses mots ne m’empêchais pas de tressaillir sur place, en lui tendant le flacon d’alcool et le coton. Il me contemplait sans prendre pour autant les présents que je lui tendais.
- Je vais avoir besoins de toi, ma belle. Me dit-il.
Mon souffle s’arrêta net. Je n’avais jamais recousu quelqu’un. Et si je ratais ? Non ! Je ne pouvais pas le faire.
- Stécie! Je t’en prie. Marmonna-t-il tout en déboutonnant sa chemise.
- Je … je … peux pas. Je suis désoler. Jamais je n’ais vécu une chose pareil. Je n’y arriverais pas.
- Stécie, j’ai confiance en toi. Dit-il en prenant le coton et l’imbibant de l’alcool, puis me le mit dans la main.
- Vas s’y !
Je secouais la tête négativement. J’en tremblais de tous mes membres. Le sang me donna la nausée alors que mes larmes commençaient à monter. J’imaginais que Max avait comprit se que je ressentais mais pour lui, la blessure devait être soigner assez rapidement. Il prit ma main et appuya le coton que je tenais, sur son abdomen. Il étouffa un cri. Je me décalais aussi vite, me leva et le contempla. Cette fois mes yeux fût humides et mes larmes roulèrent sur mes joues. Max reprenait ses esprits en prenant une énorme bouffer d’air.
- Je vais encore avoir besoin de toi . Me dit-il.
- Ah non ! J’ai … j’ai jamais recousu quelqu’un… Ne m’oblige pas. S’il te plait.
J’éclatais en sanglot, j’en pouvais plus, il me demandais de faire l’impossible.
- Stécie ! Regarde moi, tu peux le faire. Cette blessure est profonde et je ne peu pas rester comme cela, elle risque de s’élargir encore plus et de s‘infecter. Stécie …
- Ok. M’emportais-je avec courage.
Je me rassis près de lui et pris l’aiguille, le fil, que j’avais préalablement enfiler. Je commençais le premier point en fermant les yeux au moment de piquer la peau. Max serra mon autre main. Sa respiration était accéléré mais resta serein comme si, il avait déjà presque plus mal.
Une fois les points terminé, je mis une compresse. Il me regardait songeur, plongeant ses prunelles dans les miennes qui était terroriser. Je remarquais que ses yeux avaient changer de couleur retrouvant leur marron noisette. Puis il mit ses mains de chaque coter de mon visage, se penchant légèrement, mon cœur bâtait encore plus fort, ses lèvres si douce m’effleurèrent le cou, le visage et pour finir ma bouche. Me donnant un baiser long - beaucoup trop long - comme si, il s’apprêtait à repartir.
- Tu vas encore me laisser seule?
Il se redressa, le regard interrogateur.
- Pourquoi crois-tu que je suis ici , si c’est pour repartir ?
- Je ne sais pas… peut être pour que je te soigne !
Il s’esclaffa.
- Je dois dire que tu t’ais bien débrouillée. Me félicita-t-il. Je n’ais pas l’intention de te laisser seule encore une fois.
- Tu n’aurais jamais du , en effet.
Je lui lançais un regard froid car il revenait de réouvrir la blessure que j’avais si difficilement fermer.
- Calme toi ! S’excusa-t-il. Si je suis partis, c’étais pour te protéger des … humm ….
- Elfes Protecteurs heu … Elfires. Je sais.
- Voila. Me lança-t-il en souriant. Tu as l’air bien au courant…. J’ai eu tort de t’avoir laissé …Je suis désoler.
- Tu peux pas savoir comment cela à été difficile pour moi, de t’oublier.
- Je sais. Murmura-t-il. Mais je suis là maintenant.
Je ne voulais pas me disputer avec lui, alors qu’il était ici, que je l’avais attendus depuis si longtemps. Mais je m’inquiétais pour sa blessure. Qui lui avait fait celui ? Pourquoi ? Max regardait la compresse et fronçait les sourcils comme si, il était en train de lire dans mes pensées et que toutes ses questions lui déplaisait.
- Les Elfires. Dit-il sèchement.
- Pardon ?
- Je répondais à ta question.
- Je … ne comprend pas.
- Ce sont les Elfires qui mon fait cela. Me montra-t-il de sa main la blessure.
- Oh !
- Tu as parler à Aurélien, il me semble ? Non? Rétorqua-t-il.
- Qui est Aurélien ?
- Ah, je vois qu’il n’a même pas pris la peine de se présenter. Souffla-t-il.
Il avait l’air désespéré. Mais qui était Aurélien ? J’étais sensé lui avoir parlé ? Seulement le seul individu que j’avais rencontré était un Ange.
- Voila c’est lui. Fit-il.
- Quoi ?
- Aurélien ! … c’est l’Ange.
- Oh! s’il te plait, peux-tu arrêter de lire dans ma tête.
- Pardonne-moi. S’excusa-t-il en souriant. Je m’inquiète un peux pour toi.
- Pourquoi ? Devrais-je avoir peur ?
- Je sais pas, à toi de me le dire.
- Je n’ais pas peur. Le rassurais-je même si se n’étais pas tout à fait le cas.
- Tu devrais. Dit-il sérieusement. Ce n’est pas tout les jours que l’on rencontre un Ange et un Elfe… depuis un Elfe noir.
Il avait raison. Toutes personnes auraient été apeurés, effrayés, mais pas moi. Je trouvais cela extraordinaire, comme il disait « ce n’est pas tout les jours » et j’avais eu la chance dans voir et d’être même la petite amie de l’un d’eux. Pourtant malgré tout, j’étais anxieuse. Que lui reprochaient les Elfes Protecteurs?
- Qu’est que les Elfes Noirs on de si ténébreux en eux?
Son visage me fixa plongeant ses prunelles dans les miennes à la recherche de l’expression que j’allais avoir quand il m’aurait dit la vérité. Peut être allait-il me mentir ? Après tout il l’avait déjà fait - en me faisant croire à son instinct plutôt qu’a son don.
- Je sais pas si tu va encaisser le coup ! S’inquiéta-t-il soudain en me sortant de mes réflexions.
- Tu as vu et entendu tellement de chose aujourd’hui que tu devrais plutôt de reposer. Continua-t-il.
Était-ce si affreux ?
- J’insiste, je veux savoir.
- Non , demain. Renchéri celui-ci.
Je ne voulais pas m’énerver, je ne voulais pas le perdre mais j’avais besoin de savoir qui, il était pour ne pas avoir peur de lui. Même si je savais que je pouvais avoir une totale confiance en l’homme qui enflamme mon cœur à cette instant. Il me regardait toujours avec un léger petit sourire en coin qui me faisait craquer.
- J’ai besoin de savoir. Chuchotais-je doucement.
Il leva les yeux au ciel sans pour autant prendre la parole.
Vraiment Absurde ! Qu’avait-il de si effrayant? Que me cachait-il?
- Tu dois dormir un peu. Insista-t-il encore une fois.
Mais qu’est ce qu’ils avaient tous à vouloir me faire dormir ?
- Je ne suis pas fatiguée!
Voyant que je commençais à m’énerver, il me prit les épaules et me poussa en arrière, qui finalement me fit allonger sur le lit. Son torse - chemise toujours ouverte - se retrouvait sur moi, léger, fière laissant paraitre sa magnifique musculature. Il me regardait toujours dans les yeux. J’avais compris, c’était toujours lui le plus fort.
- Maintenant, dort. Me dit-il sèchement.
Je l’avais vraiment énerver. Mais cette position me fis frissonner de plaisir. C’est quand il se redressait que mes mains s’accrochèrent à son cou pour - plutôt que l’éloigner - le rapprocher de moi, tout en se laissant faire, je lui donnais un baiser. Il n’avait pas l’air d’apprécier.
- qui y’a-t-il ?
Toujours légèrement en colère il me fit un sourire en coin.
- Tu dois dormir … mais je dois dire que tu embrasses… plutôt … pas mal. S’esclaffa-t-il.
Je lui rendit son sourire. Puis il se pencha, effleura mon cou, mes lèvres. Sa mains caressais mes hanches, mes cuisses, mon pieds. Et mon désir s’accentua.
[b]
Ainsi ce finit le Chapitre 4 ... A suivre ...Vos impressions ?
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MessageSujet: Re: J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl   J'ai pas de nom encore pour mon livre ! dsl EmptySam 21 Fév - 16:08

5
***
Anniversaire



[b]Je sentis une main glaciale sur ma joue et soudain des lèvres s’appuyèrent sur mon front. Quand j’ouvris les yeux, j’aperçue Max. Il avait été - surement - se changer chez lui comme tout les soirs qu’il restait avec moi, car il arborait une chemise blanche gaufré, les trois boutons étaient déboutonné tendis qu’ils étaient surmonter d’une magnifique veste noir, que je voyais pour la première fois. Toujours avec son pantalon cintré noir et ses chaussures de cuir luisant, bien cirée. J’écarquillais bien mes yeux à la vu de ce spectacle, tel un James Bond devant sa belle.
- Oh ! M’exclamais-je, Devant se bel homme qui me paraissait inconnu à mes yeux.
Sourire en coin, ses mains sur mes joues, il me donna un baiser.
- Ah quoi dois-je ce spectacle ?
- Mumm … et bien, il me semble que l’on doit fêter quelque chose ! Non ? S’exclama-t-il.
- Ah bon ? Quoi donc ? Me passant la main dans mes cheveux ébouriffé et mal ordonner.
Il eu un regard étonner et leva un sourcil moqueur. Quel jour étions-nous ? Était-ce l’anniversaire de notre première rencontre ? Je me souvenais pas que l’on s’était connu au mois d’Août ? J’avais perdu toute notion du temps à force de penser à lui. Depuis que nous étions en vacances, Max prenait de plus en plus soin de moi, laissant rien passer. Il prenait tellement de temps à être normal et à m’emmener dans toute sorte de sortis organiser par mes amis - Katrin, Vin et Ophélie - que je n’avais même plus le temps de respirée. Surtout la soirée en pleine air, sorte de bal organiser dans le parc juste à côté de chez moi. Je détestais cela et Katrin avait trouvée le moyen dans parler à Max, qui celui-ci n’hésita pas à venir me chercher le soir même - avec une magnifique robe bleu ciel qu’il tenait dans la main avant de ma la tendre, dos nu et fendu le long de mon mollet .Ma tante l’avait regardée d’un œil soucieux mais avait été compréhensible, me reprochant de ne pas sortir assez - pour une fois qu’un homme venait me chercher pour faire la fête, il était hors de question pour elle de me le refuser - à mon grand regret. Quand j’allais sortir sur le perron mon bras enlacée à celui de Max, j’avais eu une hésitation - cette robe était vraiment trop habiller. Il détourna la tête vers moi.
- Tu es magnifique ! Et ne t’occupe pas des regards des autres.
Cette soirée avait été la meilleur de toute ma vie. D’une part parce qu’il était là à mes coté et d’une autre part parce que Vin avait été compréhensible pour accepter qu’il soit pareil que lui . Pourtant, je sentis une tension entre eux. J’ignore pourquoi ils ne s’appréciaient pas. Finalement Max c’était réfugié au prêt de Mackaël. Ils étaient même devenu inséparables durant la soirée, - point négatif - car je m’étais retrouver seule avec Katrin et Ophélie à parler robe de bal et cosmétiques. Cela avait eu un bon coter finalement, mes difficultés à me maquiller s’était améliorer grâce à elle, pouvant présenter mieux au bras de mon âme sœur si parfait. J’avais même revu Kyle qui étaient accompagner de très près par une belle jeune femme qui m’étais inconnu.
« - Elle s’appelle Cécilia. M’avait chuchoter Max qui m’avait rejoins voyant mon regard émerveiller. c’est la compagne de Kyle. »
Véritable vénus descendu de la mythologie. Qui me rappela à quel point je ne ressemblais en rien à un Elfe. Ces cheveux brun brillaient à la lueur de la lune et sa robe était correctement posé sur ses formes si fine. Durant la soirée, Kyle et Cécilia nous avaient ébloui d’une danse gracieuse, sensuelle, faisant voleter sa robe en voile rose - rien avoir avec les danseurs professionnelles Humains. C’était le même soir que Max m’annonçait - en me ramenant chez moi - que Cécilia était doter d’un don elle aussi, sorte de décharge électrique qu’elle pouvait infliger à son adversaire d’un coup de revers de la main pauser sur l’épaule.
Plus les jours passaient et plus j’en apprenais sur mes amis. J’avais appris que Kyle avait un don lui aussi, espèce de contrôle sur l’esprit - bien pratique pour calmer ses adversaires ! - C’est alors que je compris ce qui c’étais passer le jour ou Max avait annoncé à Mackaël que j’étais au courant de ce qu’ils étaient. Il avait commencé à se mettre en colère mais Kyle avait réussi à le calmer. Pour une fois dans ma vie, je me sentais protégé, cette brochette d’Elfes aux pouvoirs surnaturels me réconfortais. On n’avait jamais revu la femme qui c’était jeter sur ma voiture par contre Aurélien, nous avait rejoins mais restait néanmoins discret et prudent car ses milliers de rayon autour de lui ne le faisait pas passer inaperçu. J’étais résolue à le voir que le soir car il avait prit la décision de sortir que la nuit depuis qu’une fillette l’avait vu en pleine journée - annonçant à sa maman qu’elle avait vu un Ange - sa mère c’était mit dans tout ses états. Et puis il y avait aussi Ophélie qui s’était éprise de Mackaël mais qui ignorait tout de ses origines. Ne sachant pas comment lui annoncer se qu’il était, il décida de nous confier la tache.
Sa c’était la meilleur !
C’est lors d’une journée ensoleiller que Katrin nous invita - moi et Ophélie - chez elle pour papoter maquillage et robe de bal. Je m’en serais douter !
C’était au moment ou elle nous montra la robe noir - trop décolleté à mon gout - que Katrin arbora le sujet.
«  - Tu sais … Mackaël n’ait pas un type comme les autres . Avait-elle commencer. »
Ophélie trop occuper à se regarder dans le miroir, n’avait pas prêté attention à se qu’on lui disait. Cependant Katrin avait insistée et Ophélie nous était tomber dans les bras ne croyant pas à ses foutaises.
«  - Je ne vous crois pas, prouvez moi que c’est vrai. Avait-elle annoncer quand elle reprenait connaissance. »
C’était à ce moment la que je vu pour la première fois le hangar que Mackaël avait mentionné le jour même de la fermeture de l’Université dû à la mort de Melle Neva. C’était ici qu’ils se réunissaient - à l’abri des regard - pour prouver à Ophélie qu’elle avait tors. Celle-ci était rester figé un petit moment avant d’accepter les origines Mackaël, ce qui rassura celui-ci.
Ce hangar ne ressemblait pas à un garage pour voitures bien que la Porche jaune de Max, l’Aston Martin rouge de Mackaël et la Mercedes grise de Kyle y avaient été garé bien au fond de l’établissement, laissant une immense place au milieu. Un canapé y avait été mit ainsi qu’un écran plasma géant - qui me paraissait grand comme celui d’un cinéma - tendit qu’en face se trouvait comme une cuisine Américaine. Plus au fond - au milieu de la pièce - un immense escalier donnait sur la deuxième partie du hangar. Des chambres y avaient été aménagé de couleurs toutes différentes. J’avais compris que mes amis logeaient ici. Max m’avait même présenté à ses parents - Véronica et Nowel -, véritables Elfes attentionner pour leurs fils mais aussi pour ses deux autres acolytes car Mackaël et Kyle les avaient perdu depuis longtemps. Ils avaient retrouver en Véronica la mère qu’ils avaient perdu.
- Humm… Je sais que tu n’aimes pas les fêtes mais tu ne va pas pouvoir y échapper ma Belle. Chuchota alors Max me faisant revenir à la réalité.
- Encore une soirée ! Oh non !
Il leva un sourcil amuser.
- Alors tu as vraiment oublier? S’exclama-t-il.
Je le regardais interrogateur, cherchant ce qui pouvait bien y avoir aujourd’hui ? Avec toute ces fêtes j’étais complètement perdu. Ne sachant plus si j’avançais dans le temps ou si je reculais, pour moi, il avait avancer à une vitesse incroyable. J’avais l’impression que c’était hier que j’arrivais pour la première fois à l’Université et voila que c’était déjà les vacances laissant un an derrière moi, mais …
- Mon Anniversaire !
Max s’esclaffa.
- Tu ma fait peur, j’ai cru que tu avais réellement oublié.
- Mais que ma tu préparé pour être habillé ainsi ? Demandais-je suspecte.
- Et bien, moi rien, je me suis juste accaparé à ce qui va t’attendre ce soir.
- Oh non ! Katrin ! Mais si s’est-ce soir ! … pourquoi tu est déjà habillé ? Que me réserve tu encore ?
Il me sortie son sourire en coin.
- C’est une surprise.
- Oh non ,tu sais que j’ai horreur des surprises. J’espère que tu m’a rien acheter.
- Va t’habillé, je t’attend.
- Ok.
Sautant sur mes pieds, je me précipita à la salle de bain. Une fois ma douche prise et mes dents laver, je m’enroulais dans ma serviette pour allée dans ma chambre. Il était toujours la me dévisageant.
- Oh c’est bon ! J’ai aucune idée de ce que je peut porter.
- Pourquoi ne met-tu pas cette magnifique robe bleu que tu avais porter au bal. Me suggéra-t-il.
Oh ! Elle était pas assez bien, je ferais tache à coté de lui si élégant dans ses vêtements, véritable gentleman . A force de chercher quelque chose que je n’avais pas, je me résolu à la porter.
- Tu est sublime ! Murmura-t-il.
- Merci … Mais pas autant que toi?
Il soupira désespérer.
- Ne doute jamais de toi.
Puis il me pris la main et m’emboita le pas vers l’escalier. M’arrêtant net, le regardant suspecte.
- Mais tu ne passe pas par la fenêtre ?
- Heu … Et bien non, ta tante c’est que je suis ici.
- Quoi ?
Comment avait-il pu me faire cela. Ah ! C’est sur Claudie ne voudra plus qu’il vienne à la maison, si, il lui avait avouer qu’il venait tout les soirs pour les passer avec moi.
- Ne t’inquiète pas je suis passer par la porte aujourd’hui. Fit-il avec un grand sourire. Je t’est encore laissé ce matin pour allez m’habiller. Je dois dire que ta tante est plutôt cool !
- Ah bon ?! Pourquoi tu dit cela?
- Et bien , c’est pas ma tante qui dirait à une inconnue de venir me réveiller.
- C’est vrai qu’elle est géniale ! J’aurais du lui parler de toi.
- Pourquoi ne la tu pas fait ?
- Heu … je sais … pas . J’avais … peur .
- Peur ? De quoi ?
- Je savais pas comment aborder le sujet enfaite, …sans lui révéler ce que tu es. M’emportais-je angoisser. Voila maintenant tu sais tous.
- Calme toi Stécie. Quand je lui est dit que j’étais heu … ton petit amis, elle la plutôt bien prit. Me dit-il en passant sa main dans ses cheveux noir éblouissant comme si, il était quelque peut gêné.
- Ok ! Bien… heu ….Alors tu as toujours pas envie de me dire ou tu m’emmène?
Il prit ma main et m’emporta près de la porte ou il l’ouvrit pour me laisser passer.
- Amuse toi bien ! Me héla ma Tante avec un clin d’œil.
J’acquiesçais d’un sourire bref. J’étais tellement désemparée de lui avoir mentir sur mes relation avec Max, que je l’étais encore plus maintenant qu’elle était au courant. J’ignorais comment lui en parler à présent - parce que la connaissant bien - elle voudrait des explications et surement des détailles sur mon amoureux.
Max regardait le par brise sans se préoccuper de la vitesse à laquelle il roulait mais il avait les sourcils froncer en quête d’une réponse à mes réflexions. Malgré que je lui interdisait de lire dans mes pensées, il ne pouvait s’empêcher de veiller sur moi. Je décidait finalement de me concentrer sur mon Jour, même si je ne savais pas ce qui m’attendais, bien qu’avec Katrin et Ophélie, s’étaient déjà réfléchis d’avance - robes à paillettes, fête et cadeaux - tout se que je détestais. Max eu un léger sourire.
Quand il arrêta la voiture, je m’aperçu que nous étions devant le restaurant le plus célèbre de la région et en contre partis le plus cher. J’étais si hypnotisée par l’établissement qui se trouvait devant moi que je n’avais pas entendu Max ouvrir ma portière.
- Tu viens !
Je me secouais la tête pour revenir à la réalité.
Je comprenais maintenant pourquoi il était habillé si élégamment. Dans un tel endroit, personne n’oserait venir en jean et t-shirt. J’étais presque gêné quand nous entrâmes dans le hall. Tout était magnifique !
Le serveur nous conduisit à notre table - que Max avait réserver . La carte était fournit de choix infini et les prix - comme je l’avais deviner - était très cher.
- Tu es fou de m’amener dans un tel endroit ! Chuchotais-je à Max.
- Je sais que tu n’apprécie pas les cadeaux alors laisse moi t’offrir cela . S’expliqua-t-il.
- Mouais ! La prochaine fois rappelle moi d’accepter tes cadeaux!
Après le magnifique repars que nous avions prit, et la sublime journée qui était passer à une vitesse record, il sortie son téléphone de sa poche et appela - Katrin.
- Allo ? Kat c’est bon ? On peut venir ?…. Ok on n’arrive tout doucement alors.
Ah ! Katrin n’était-elle pas prête? Ce qui était étrange.
- Effectivement, elle n’a pas encore tout préparé.
- Oh j’en n’ais marre que tu lises dans mes pensées ! Criais-je à voix haute.
- Chut ! Pourrais-tu être un peut plus discrète. Murmura Max en regardant au dessus de mon épaule pour admirer un jeune homme aux yeux inquiet.
- Pardon !
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